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Quand y a rien a faire, je suis vraiment maladroite (ft. Haneul)
Anonymous
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Ven 20 Avr - 22:11

Quand y a rien a faire, je suis vraiment maladroite.

à l'université,

Le printemps est là, enfin, pointant le bout de son nez, chassant la tristesse qu’apporte l’hiver. Il fait beau, et bon, et les roses commencent à éclore, les fruits de saison apparaissent et tout le monde est content. Les amoureuses s’embrassent et partagent leur passion, les oiseaux chantent. Que du bonheur. Bo Yeong aime le printemps, aime les couleurs du printemps, aime se promener paisiblement, sans se presser de peur de tomber malade. Elle aime se poser au coin des arbres, à l’ombre, pour profiter du paysage, et le dessiner. C’est le moment idéal pour elle et sa créativité. Le printemps est souvent source d’inspiration pour la jeune femme, bien plus que les autres saisons. C’est à cette période de l’année qu’elle rêve davantage, qu’elle se construit son monde. Ce monde si coloré, là où il fait bon d’y vivre. Elle a toujours son carnet à portée de main, son crayon derrière son oreille, prête à dessiner, à reconstruire. Elle ne dit pas ne pas aimer les autres saisons, chaque saison est particulière, mais elle apprécie davantage le printemps. C’est donc tout en chantonnant, le corps léger, qu’elle s’en va prendre un matcha latte, l’une de ses boissons préférées. Qu’importe la saison, qu’il fasse chaud ou froid, elle aime les saveurs de cette boisson et ne s’en lasse jamais. Elle ne laisse jamais une seule goutte, léchant parfois les moindres recoins pour ne pas gâcher ce breuvage si exquis. Après avoir passé commande, elle s’en va jusqu’au campus universitaire, cherchant inspiration pour son devoir du lendemain. Elle doit dessiner une émotion, et autant dire que ce n’est pas quelque chose de simple, bien au contraire. C’est toujours ce qu’elle a dû mal à dessiner. L’émotion. C’est tellement vaste, tellement éphémère, tellement subtile, qu’elle ne sait comment la dessiner et surtout laquelle choisir. Elle parvient à transmettre de l’émotion dans ce qu’elle dessine, mais en dessiner une est un tout autre travail.

Et alors qu’elle scrute les alentours, à la recherche de quelque chose, un emplacement peut-être, une idée, elle trébuche malencontreusement sur un caillou. Stupide caillou.  Elle ne le voit pas arriver au même moment. Lui. N’a pas le temps de se rattraper. Et c’est le drame. Elle se voit projeter en avant, se cogner contre quelque chose de coriace, lui permettant ainsi de ne pas s’étaler comme une crêpe sur le sol dur, tandis que sa main lâche en même temps son gobelet encore bien chaud, le contenu se déversant sur ce qui semble être une silhouette humaine. Pendant sa chute, elle ferme les yeux, puis, quelques secondes après, elle les ouvre un à un, réalisant qu’elle tient fermement un corps masculin. Honteuse, elle se dresse rapidement, passe une main dans ses cheveux, gênées par cette soudaine proximité et sa maladresse qui a encore frappé. « Joe-song-hab-ni-da » dit-elle en se baissant plusieurs fois pour essayer de s’excuser. Et lorsqu’elle lève les yeux vers son vis-à-vis, pour connaître, peut-être, son identité. C’est l’électrochoc. Ses yeux s’écarquillent et elle porte ses mains à sa bouche, faisant un pas en arrière. « T . . . . je . . . t . . . », elle en perd ses mots tellement elle est surprise. Décidément, le sort s’acharne sur elle. Pourquoi toujours lui ?


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Son Haneul
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Son Haneul
maudit à jamais« cheonyan »
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Lun 30 Avr - 18:34

Quand y a rien a faire, je suis vraiment maladroite.

à l'université,



Saison du renouveau, il fait suite à l’hiver. Douloureuse période où tout se gèle, où les fleurs se fanent, où les cœurs se glacent. Le printemps vient tout effacer, ramène le soleil à ceux qui restent et puis tout recommence. La vie revient, tout renaît. Haneul avait toujours été partagé entre le printemps et l’été, saisons où le temps était le plus majestueux. Le soleil brillait souvent fort, haut dans le ciel. Boule lumineuse, qui lorsqu’elle se reflète sur ses iris en montre la beauté. Yeux clairs qui cherchent à braver les rayons mais Haneul finit toujours par renoncer. Il aurait voulu être dehors, prendre l’air mais aujourd’hui était un jour comme les autres. Il y avait les cours, l’université à subir. Esprit libre, soumis aussi. Les mots de ses parents qui résonnent. Haneul qui adore désobéir – une vraie passion à ce niveau. Pourtant, il acquiesce. Fait mine d’écouter, sourit et puis il s’enfuit. Il n’a plus envie de les écouter. Eux et leurs reproches. Il préfère le chant des oiseaux, le bruit de la ville, les voix d’inconnus. Tout pour s’éloigner, fuir cette cage dorée dans laquelle on voudrait l’enfermer. Haneul ne marche pourtant pas vite. Il n’est pas pressé d’arriver, demande même au chauffeur de prendre un détour lorsqu’il entendre dans la voiture.

Malheureusement, la fatalité s’abat sur lui. Il passe deux heures enfermé, à essayer de se distraire dans ce cours de littérature moderne qu’il écoute à moitié. Il préfère gribouiller sur son carnet, prendre quelques notes lorsque la voix du professeur insiste, persiste à vouloir s’implanter dans son esprit. Blabla permanent, Haneul qui est toujours impressionné par les étudiants concentrés. Ceux dont les pensées ne voguent pas comme les siennes. Haneul, enfant parmi eux. Et puis l’heure vient, tous s’en vont. Haneul le premier. Il ressort comme s’il avait travaillé, pense s’offrir une petite pause qu’il ne mérite même pas. Et ses pas le guident vers d’autres horizons. Printemps adoré qui s’offre à lui, il ne se préoccupe pas vraiment des gens. Il lit l’arrière de son bouquin, la couverture ensuite avant de le ranger.

Et tout paraissait paisible mais on vient le troubler. Une fille. Au début, il ne réalise pas qui elle est. Non, il voit juste un corps qui semble se cogner au sien et puis le liquide qui vole, lui paraît venir sur lui aussi. Il croit rêver mais non. Il sent sa poigne, la voit. Et il a comme un mouvement de recule mais c’est trop tard. La maladresse est déjà arrivée. Elle se redresse pourtant rapidement. Il voit la gêne chez elle mais la réaction excessive ne tarde pas à arriver. Haneul reprend ses distances, sent la colère qui monte. Il ne l’a pas encore reconnue, reste dans l’ignorance. « Mais tu pouvais pas faire attention ? » Le ton plus fort que les autres dans la même situation. L’agacement qu’on peut lire sur ses lèvres pincées, sa moue boudeuse. Et puis il croise ses yeux. Il a comme un instant de réflexion très bref. Elle. Il se souvient. Elle balbutie, perd ses mots mais pas lui. Lui attrapant le poignet, il la regarde, la force à en faire de même. « Toi...Je te connais. » Il détaille chaque face de son visage ouvertement, la scrute. « C’était toi là-bas, à la cascade pas vrai ? »



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Anonymous
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Lun 7 Mai - 11:06

Quand y a rien a faire, je suis vraiment maladroite.

à l'université,

Elle se sent mal Bo Yeong. Mal d’avoir renversé sa boisson sur cette personne. Mal de toujours être maladroite, même dans des circonstances où elle ne devrait pas faire son apparition. En plus, elle se fait remarquer et les yeux sont rivés vers elle, prêts à observer le moindre petit détail et à noter la scène pour peut-être en faire des rumeurs, comme toujours. Il faut dire que le complexe scolaire est certes grand mais tout se sait, à la seconde même où la rumeur s’envole vers d’autres cieux. Mais outre cet aspect elle n’aime pas être regardée, elle n’aime pas avoir l’attention des autres sur elle, elle se sent juger, mal dans sa peau, et le sentiment que tout peut lui arriver, même un seau d’eau. Il faut dire qu’elle est habituée à ce type de circonstances, qu’on l’observe pour mieux la prendre comme proie, et la malmener. Ça s’est peut-être calmé depuis qu’elle est à l’université mais ça reste quand même fréquent dans sa vie. Elle grimace davantage lorsqu’elle reconnait la personne sur qui elle a renversé son gobelet, se sentant encore plus terriblement mal à l’aise. Elle aurait pu tomber sur n’importe qui, mais il a fallu qu’elle tombe sur lui. La seule personne qu’elle aurait préféré ignorer, éviter, mais non, le destin en décide toujours autrement avec elle, jouant avec ses nerfs. Elle pousse un long soupir de désespoir, prête à être assaillie de reproches, sentant déjà la colère du jeune homme qui gronde. Elle avale difficilement sa salive quand, enfin, il la reconnait. Elle, elle l’a reconnu dès le début, du moins jusqu’à ce qu’elle lève les yeux vers lui. A ce moment-là elle n’a qu’une envie c’est de fuir. De courir, ou même de se transformer en petite souris, d’être invisible à ses yeux, d’avoir la cap d’harry potter pour la protéger. Mais malheureusement il n’y a rien. Rien qui puisse l’aider. Elle doit juste faire face. « N . . . non », dit-elle difficilement se rendant compte que son bégaiement ne l’aide sûrement pas à lui faire croire le contraire. Elle n’aurait toutefois jamais pensé qu’il s’en souviendrait. Mais est-ce qu’il se souvient de tout ? Il faut dire qu’elle l’a fui quand elle a remarqué son regard, et qu’il l’a pris en plein flagrant délit de dessin. Sûrement qu’il s’est posé des questions, sûrement qu’il s’est imaginé des choses, ou peut-être pas. Tout est possible. « Enfin oui c’était moi ». Elle rougit violemment, baissant les yeux. « Je . . . je suis vraiment désolée. Je ne voulais pas . . . est-ce que je t’ai brûlé ? C’est tâché je crois ? Tu as besoin d’aide ? Je peux t’aider à nettoyer si tu veux » dit-elle en descendant son regard vers la tâche se trouvant au mauvais endroit de son pantalon, mais Bo Yeong n’y prête pas attention parce que ce n’est pas dans ses habitudes de penser à de telles zones, alors pour elle tout est purement innocent.




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