can you feel the love tonight ? | Iryon  ♥ 191211064108775501
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can you feel the love tonight ? | Iryon ♥
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Sam 15 Sep - 20:16
can you feel the love tonight ?
outfits Les yeux figés sur la grille, Dambi repérait ses futurs points d’accroche. Ce n’était pas la première fois qu’elle devait escalader ce genre de barrières, mais elle préférait visualiser à l’avance la manière dont elle allait s’y prendre. Certains de ses amis devaient déjà l’attendre à l’intérieur puisqu’elle avait quitté la demeure familiale avec trente minutes de retard. Même si elle savait que Mina couvrirait son absence, la jeune adolescente préférait faire les choses correctement. Ainsi, elle avait utilisé cette technique vieille comme le monde de mettre des polochons sous sa couverture afin de faire croire à celui qui entrerait dans la pièce qu’elle était endormie. Une perruque était même posée sur l’oreiller pour imiter sa longue crinière. Ce qui l’avait mise en retard n’était pas ses heures de préparation pour être parfaitement apprêtée, mais le longueur incroyable qu’avait mis la gouvernante pour aller trouver les bras de Morphée. Ce ne fut qu’une fois qu’elle était certaine du vide de certaines pièces qu’elle se faufila hors de sa chambre, coupant par le jardin et se faufilant par un muret qui donnait sur une ruelle jamais fréquentée. Ses yeux s’étaient posés une dernière fois sur l’immense hanok avant qu’elle ne prenne la direction du centre-ville. Première étape accomplie.

La seconde était une simple traversé des ruelles afin de se rendre jusqu’au temple sur la falaise Jusangjeolli. Ce dernier était classé au patrimoine de l’île et fermé au public durant la nuit. C’était sans compter sur une bande d’adolescents qui avaient décidé de jouer avec le feu et de s’y rendre de nuit afin de boire en profitant d’une vue imprenable sur la mer. Non seulement il était parfaitement illégale de se rendre sur cette propriété hors des horaires d’ouverture, mais il leur était interdit à tous de boire étant encore des mineurs. Dambi se fichait bien de toutes ces règles qu’elle considérait comme étant stupide. Elle s’était donc dépêchée de grimper jusqu’au grillage qui protégeait l’entrée du temple. Voilà de quelle manière elle se trouva le visage levé sur les barres de fer à visualiser la manière dont elle allait se rendre de l’autre côté. « Aller Bambi, quand faut y aller ! » La lycéenne avait heureusement pensé à mettre un simple short en jean accompagné d’un crop-top olive qui lui permettait d’être à la fois à l’aise et suffisamment jolie pour ses amis. Son sac à dos brun laissait des bouteilles de soju tinter les unes contre les autres et elle espérait ne pas tomber. L’alcool ne devait pas finir dans le sac mais dans son estomac ce soir. Levant les bras, elle attrapa les première barre pour débuter son ascension. La grille devait faire dans les deux ou trois mètres au maximum, ce qui n’était pas insurmontable. Evidemment, elle était cachée par les arbres qui offraient un angle mort aux possibles caméras. Dambi avait réfléchi à tout. Ou presque.
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Ven 2 Nov - 23:28
can you feel the love tonight ?
outfits un job, dont iryon se passerait bien ; baby-sitter d'une gamine de dix-sept ans. on aura tout vu. père trop protecteur ou adolescente pourrie gâtée ; iryon en a conclu que les deux suppositions semblaient vraies. et il aurait voulu éviter cette merde. surtout que le brun connait bien la jeune demoiselle ; ou plutôt son corps. aventure d'une nuit, qu'il croyait derrière lui. triste erreur. encore plus, lorsque vous avez défloré la fille du type, qui vous a sorti de taule. iryon est dans la merde. il observe la princesse des lieux, avec sa dame de compagnie. il semblerait qu'elles complotent, mais iryon ne dit rien, comme à son habitude ; restant le plus silencieux possible, les yeux rivés vers son bouquin. mais iryon écoute, feignant de lire. il n'est pas dupe.

l'heure du coucher est passée depuis bien longtemps. et iryon est encore sur les lieux de son travail. le brun doit rester dans cette maison traditionnelle pour un certain temps. il ne connait pas la durée de cet emploi ennuyeux, et souhaite être auprès de son patron et ami ; nabi. iryon est inquiet pour lui ; prenant de ses nouvelles par ses hommes de main. il essaie de se rassurer comme il peut. logé dans une chambre d'ami, ou plutôt, à l'écart. pas de mélange entre rangs sociaux. ses iris noisette observent la fenêtre de celle dont il doit surveiller, tandis que son pouce joue frénétiquement avec son zippo. et que voit-il ; une petite souris hors de son trou : koo dambi. un rictus d'énervement orne ses pulpes et il ne tarde pas à suivre la jolie demoiselle dans les ruelles, le plus silencieusement possible.

caché derrière un arbre, iryon épie la jolie dambi, devant ce grillage ; qui semble réfléchir à la solution pour franchir cette petite muraille. mais que fout-elle ici, à cette heure tardive ? et particulièrement dans cette tenue, couvrant peu son corps. « j'espère pour toi, qu'il n'y a pas de gardiens. » rétorque-t-il de sa voix grave, sortant discrètement de derrière l'arbre, tel un chat chassant sa proie. et ses iris noirs de mécontentement fusillent l'adolescente encore suspendue au grillage. « descends. » ordonne-t-il sèchement, menaçant. iryon ne va pas de main morte. aucun domestique n'est là pour entendre ou observer ses faits et gestes. « avant que je ne monte, et crois moi, tu ne veux pas que je vienne te chercher. » continue-t-il sur le même ton déplaisant, la mâchoire contractée, frustré par ce job de nounou. « j'ai deux, trois petites choses à te demander, koo dambi. »

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Mer 14 Nov - 19:32
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outfits Tout avait été calculé : sa fuite en douce de la maison, les bouteilles au fond de son sac, sa tenue peu couvrante mais lui permettant de grimper aisément… Tout. Sauf la présence de son chaperon préféré. Elle se stoppa nette sur le grillage en entendant le son de sa voix s’élever dans la nuit. Sa position était tout sauf élégante. Ses mains manquèrent même de lâcher le fer pour la laisser s’aplatir honteusement sur le sol. Mais elle avait réussir à se maintenir, une jambe plissée et le bras opposé parfaitement tendu. Dambi ferma les yeux, pestiférant dans sa tête contre l’homme dans son dos. Pourquoi fallait-il que ce soit lui ? Elle aurait largement préféré se faire prendre sur le fait par l’un de ces gardiens qu’il venait de mentionner. Sa voix était grave et sèche alors qu’il lui ordonnait de descendre, autrement quoi il se chargerait de la faire descendre. « Ouais, j’ai compris. » répondit-elle sur le même ton. Elle aurait voulu se faufiler à toute vitesse de l’autre côté de la grille puis se mettre à courir pour lui échapper, mais il fallait être réaliste : jamais elle n’aurait pu échapper à Iryon. Une fois les pieds à terre, elle se tourna vers lui en laissant ses bras voler en l’air avant qu’ils ne se posent sur sa poitrine. « Bon, au moins je vois que tu sais prononcer mon prénom. » La lycéenne laissait cet air de petite peste prendre place sur son faciès. Ils n’avaient pas parlé depuis cette fameuse nuit, encore moins depuis qu’il était devenu son espèce de nounou à plein temps. Et cela frustrait la lycéenne. D’autant plus que l’avoir sous son regard n’arrangeait rien pour son petit cœur.

L’adolescente s’approcha de lui avec un sourire sur les lèvres. Les bouteilles d’alcool tintaient à l’intérieur de son sac, mais elle n’y faisait plus attention. A frustration était légèrement diminuée maintenant qu’il lui adressait la parole, même si le moment était mal choisit. Dambi gardait malgré tout, dans un coin de sa tête, l’espoir de pouvoir le convaincre ou se débarrasser de lui pour rejoindre ses amis. Mais ce n’était pas sa préoccupation sur l’instant T. Sa préoccupation était de savoir les questions qui pouvaient tourner dans l’esprit du garçon. « Vas-y, pose tes questions, Moon Iryon. » Ses yeux roulèrent au ciel. Les mots de ce garçons ne lui avaient pas échappé, mais elle n’était pas prête pour autant à l’écouter. Bien au contraire. « Mais fais vite, j’ai une vie qui m’attend derrière ce grillage. » L’adolescente pointa ce dernier du pouce. Elle voyait dans le regard du garçon qu’il n’était pas prêt de la laisser tranquille. Elle s’approcha donc un peu plus de lui jusqu’à ce que l’obscurité qui les entourait s’amenuise encore plus. Boum. Boum. Son cœur battait plus fort mais elle n’était pas du genre à en avoir peur. Ce qui, par contre, aurait dû lui faire peur était les bouteilles tintant dans son sac à chacun de ses pas. « J’ai déjà hâte d’entendre ce qui te titille. » Elle souriait et riait, non pas par provocation mais par simple amusement. Avec tout de même une pointe d’agacement. Si seulement son chaperon aurait pu être une autre personnes qu’Iryon.
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Dim 18 Nov - 0:36
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outfits ses iris noisette dévorent littéralement l'adolescente encore accrochée au grillage. la tenue qu'elle porte, sublime davantage ses courbes voluptueuses, et le mafieux en profite pleinement. il faut le reconnaitre ; la jeune femme ne laisse pas indifférent iryon. seulement, il ne s'en rend pas compte que dambi est bien plus que la gamine qu'il doit garder. non, pour le moment, ron est juste une bête sauvage qui se distrait avec sa proie. une proie qui a bien du caractère et ose répondre au jeune homme. ses pupilles dilatées, par multiples émotions, ne lâchent pas la princesse, qui descend du grillage. un petit rictus narquois orne ses pulpeuses. il est assez fier de l'avoir empêché de faire sa connerie. il l'est moins lorsque dambi commence à parler d'une manière similaire à la sienne. iryon reprend son mutisme et son regard intensément sombre ne fait qu'observer la biche, aucunement impressionné par son air hautain. il en a rencontré des personnes arrogantes, essayant de lui faire comprendre que ce n'est qu'un moins que rien. ils ont tous fini par regretter amèrement leur comportement.  

et iryon laisse dambi s'approcher, continuant à la dévisager. il entend encore ces choses qui tintent dans le sac de la demoiselle. il n'avait donc pas rêvé. ses sourcils se froncent, et plus la jolie biche déblatère des mots, plus iryon essaie de contrôler son agacement. il n'a jamais perdu patience face à une personne. mais il semblerait que cette princesse soit la première à rendre fou le mafieux. « tu ne te tais donc jamais ? sais-tu ce qu'est le silence ou faut-il que je te force à la fermer pour ne plus t'entendre ? » rétorque-t-il enfin, une pointe d'agacement dans sa voix grave. et le pseudo-baby-sitter s'avance dangereusement de l'adolescente, réduisant un peu plus les quelques centimètres, qui les séparent. et ses iris noisette se fondent sur son corps, de bas en haut. iryon souhaite anéantir sa confiance, mais le jeune homme ne peut s'empêcher de désirer cette princesse. le mafieux se penche légèrement vers l'oreille de l'adolescente, susurrant comme s’il avait un secret à lui dévoiler : « vu que tu souhaites absolument savoir les choses qui me titillent, je vais te les dire. écoute-moi bien.. dambi. » il se redresse, son regard sombre scrutant son joli minois. « koo dambi, que fous-tu ici à cette heure de la nuit, dans cette tenue et qui plus est, en possession d'alcool !? tu es mineur, tu devrais être dans ton lit avec ta peluche et rêver de conte de fée, comme les gamines de ton âge. » sa voix grave est un peu plus puissante, commençant à perdre patience. et iryon se demande pourquoi il est là au lieu de s'envoyer en l'air avec une autre de ses victimes. foutue dette. la frustration se lit sur son visage, habituellement sans émotion. « maintenant si tu ne veux pas que je m'énerve, tu vas sagement me suivre, comme la bonne fille que tu sais être. »  iryon est rude dans ses mots, peut-être trop. mais il est comme ça. il ne sait pas comment s'y prendre dans les relations humaines. la violence a toujours été sa meilleure amie.
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Dim 18 Nov - 15:18
can you feel the love tonight ?
outfits Volontairement, elle le provoquait en rétorquant sur le même ton supérieur. Il avait beau être celui qui avait été engagé pour la surveiller et la remettre dans le droit chemin, elle n’avait pas peur de lui. Peut-être devrait-elle, mais Dambi n’avait que rarement conscience du danger. Tout comme elle avait rarement conscience des pétrins dans lesquelles elle avait tendance à se fourrer. Cependant les rires et sourire qui accompagnaient ses pas n’étaient pas une réelle provocation, un simple amusement face à la situation. Ils étaient à présent près l’un de l’autre, sans doute un peu trop. Alors qu’elle terminait sa réplique, elle hochait la tête de gauche à droite face à se première question avant que ne naisse un grand sourire face à se deuxième. La lycéenne savait qu’il n’attendait aucun réponse de sa part et que ce n’était que des questions rhétoriques, il n’empêche que cela l’amusait grandement. Elle sentait l’agacement dans la voix d’Iryon. Mais son sourire glisse lentement alors que l’homme devant elle réduit encore plus la distance qui les sépare pour susurrer quelques mots à son oreille. C’est alors tout son corps qui frissonne face à cette proximité, et elle compte bien mettre cela sur le dos du froid de la nuit qui les enveloppent. Et alors qu’il se redresse, les mots qui dévalent ses lèvres ne sont pas du tout ceux attendu par la demoiselle. Ce ne sont que de stupides réprimandes dont elle est habituée. Son père, sa mère et même sa gouvernante les lui ont déjà rabâché. Ce n’est pas parce que cette fois ils viennent de la bouche d’Iryon qu’elles auront plus de poids. « Si je savais réellement être une bonne fille, on ne t’aurait pas forcé à jouer les baby-sitter. Alors je t’en prie, m’appelle pas ainsi. » Un sourire rapide tira ses lèvres. Si elle faisait toutes ces bêtises c’était en partie parce qu’elle en avait marre de jouer à la gentille fille issue d’une bonne famille. Dambi n’avait jamais voulu de cette vie, mais on ne choisit pas sa famille.

D’un pas, puis deux, puis trois, l’adolescente s’éloignait d’Iryon. Le froid commençait à lui mordre ses bras nus. Si elle restait plantée ainsi comme un piquet sans bouger, elle allait finir par avoir froid tant sa tenue était légère. Mais au moins elle était jolie. L’idée de porter cette tenue face au mafieux la rendait heureuse, bien qu’elle tentait de contenir cette joie. Elle haussa simplement les épaules, comme si les paroles de cet homme n’avaient aucun effet sur elle. « Tu peux t’énerver, ça ne changera rien. Je ne compte pas rentrer à la maison. Généralement quand on sort, ce n’est pas pour rentrer immédiatement. C’est le principe de sortir. » Puis, elle laissa une lanière de son sac quitter son épaule pour le faire glisser sur sa hanche. Ses doigts firent glisser la fermeture éclair et attrapèrent une des nombreuses bouteilles de soju. Elle la tendit en avant vers Iryon, la balançant de gauche à droite avant de laisser son bras retomber mollement. « Pour ta curiosité. Un : je sors à l’heure que je veux. Deux : je porte la tenue que je veux. Trois : je bois si je veux. Je suis pas une gamine qui rêve au prince charmant en enlaçant une peluche. Tu sais, l’âge n’est qu’un chiffre. » Dambi était du genre bavarde, mais ce n’était que pour retarder les mots qu’elle mourrait d’envie de lui sortir. Ce qu’elle aurait véritablement aimé entendre de sa bouche. Ce qui aurait réellement dû le titiller. « Quoiqu’il arrive, je ne te suivrai pas jusqu’à chez moi. Alors je te laisse deux solutions : soit tu prends cette bouteille et tu fermes les yeux sur cette nuit en me laissant grimper ce grillage. » La brune le pointe du doigt et du menton, avant de tourner une nouvel fois son faciès sur l’homme face à elle. Un rictus tira ses lèvres alors qu’elle penchais sa tête sur le côté. « Soit on boit cette bouteille ensemble et tu m’explique pourquoi tu ne m’as jamais reparlé de cette nuit. » C’était un deal qu’elle lui proposait, même si ce n’est pas elle qui aurait dû être en position de négociation. Mais elle refusait de rentrer. Et si c’était pour rester avec le beau Iryon, elle était bien capable de renoncer à sa petite soirée.
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Dim 2 Déc - 22:25
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outfits Iryon hausse un sourcil, et la frustration se lit clairement sur son visage. La jolie demoiselle en face de lui, rétorque encore et encore. Et le jeune homme se met à rire. Un rire ironiquement sombre ; ne disant rien. Croit-elle vraiment qu'il est un simple baby-sitter ? Jolie et naïve, comme il les aime .. Pour jouer avec. Un rictus se forme sur ses pulpeuses, alors que l'adolescente recule. Son regard reste le même, intensément sombre et froid. Il en a marre. Il veut juste la prendre sur son épaule et rentrer chez cet homme qu'il doit servir, pour rembourser sa putain de dette. Seulement, elle n'est pas de cet avis, lui faisant comprendre par un discours, qui ne fait que nourrir l'irritabilité d'Iryon. Et il la laisse sortir une bouteille de soju, de continuer à déblatérer ses absurdités de gamine. Il attend patiemment qu'elle finisse pour ensuite la ramener chez elle ; par la force, la seule solution que le mafieux a trouvée.

Cependant, Iryon ne s'attendait pas à ce que la jolie demoiselle lui pose un ultimatum. Et surtout, que Dambi lui reparle de cette nuit. Son expression change, et une aura de prédateur entoure le mafieux. D'un coup, la soirée devient intéressante pour le jeune homme. Ses iris noisette restent plantés sur le visage de la belle, alors que ses pas se font lents, se dirigeant vers sa proie. « Quelle nuit ? » rétorque-t-il de sa voix grave. Il fait semblant de réfléchir, regardant ailleurs un instant avant de reporter son attention sur l'adolescente. « Ah oui.. cette nuit.. » Iryon est de nouveau face à Dambi ; à quelques centimètres. Il peut sentir le souffle de la brune contre son torse. Et ses doigts glissent lentement sur la bouteille de soju pour s'en emparer ; serrant par la même occasion les doigts fins de Dambi. Il ne lâche pas la bouteille, ni même la main de la jeune femme, ses orbes s'ancrant dans ceux de sa proie. Si elle croit qu'une bouteille d'alcool peut l'acheter alors elle est bien loin du compte. « Et que veux-tu que je te dise, mh ? .. que ta poitrine était délicieuse à maltraiter, que ton corps appelait simplement la luxure, ou que tu as pris ton pied, contrairement à d'habitude, où les gentils petits garçons que tu te tapes, prennent seuls leur plaisir ? »  Ses mots sont remplis d'une amertume, d'une méchanceté ; et peut-être même d'une jalousie. Étrangement, savoir qu'un autre ai pu toucher Dambi, le dérange ; beaucoup trop à son goût. « tes petits couinements étaient.. magnifiques.. malheureusement, je ne couche qu'une seule fois avec la même femme.. » susurre-t-il avant de reculer, la bouteille de soju à la main. Peut-être qu'Iryon ne couche qu'une seule fois avec ses partenaires. Mais, pour la première fois, il a envie d'entendre Dambi le désirer comme cette nuit. Sentir ses doigts se perdent dans ses cheveux, puis ses ongles s'enfoncer dans sa peau alors qu'elle couine de plaisir. « Maintenant que tu as eu ta réponse, on rentre. » dit-il sèchement. Iryon observe la demoiselle, ou plutôt son corps recouvert de simples et légers vêtements, l'un couleur olive ; sublimant ses courbes voluptueuses. Certes le mafieux n'est pas tendre, mais ses yeux, eux, dévorent intensément cette adolescente. « Dambi, ne m'oblige pas à te porter jusqu'à chez toi.. » dans sa voix, l'irritabilité se fait entendre, mais aussi l'impatience. Doit-il, lui aussi, donner un ultimatum ? Non, ce n'est pas dans son genre..
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Mar 4 Déc - 14:23
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outfits Lorsque les mots traversent ses lèvres, l’adolescente manque de faire une crise cardiaque. Après s’être rejoué cette nuit de multiples fois dans son esprit, voilà qu’elle n’avait pas même marqué le sien. Son visage expressif ne pu cacher ses émotions. L’étonnement et le déception tirèrent ses traits. Iryon regarda un instant ailleurs et elle croisa ses bras sur sa poitrine. Son égo était touché. C’est lorsqu’il reporta son attention sur elle que d’autres suivirent. Ils laissaient un goût amer dans l’air, comme si elle n’était qu’une fille parmi tant d’autres. Dambi pensait sincèrement qu’elle ne se fondait pas dans la masse. Impossible. L’homme face à elle s’approche au plus près, bien trop près, pour attraper la bouteille d’alcool sans pour autant lâcher ses doigts. Sa respiration tressaute et elle remercie la nuit de cacher le brassier qui naît sous ses joues. Ses mots sont durs et glacials, emplis d’une méchanceté qu’elle ne comprends pas. Encore moins lorsqu’il affirme ne coucher qu’une seule fois avec la même femme. Un rire même, moqueur, traverse les lèvres de la lycéenne. Le mafieux s’écarte, finalement, la bouteille de soju à la main, lui sommant de rentrer. Mais elle est bien trop blessée dans son orgueil pour le suivre gentiment, se sentant comme une poupée parmi toutes les autres poupées de la ville. Un sourire tire ses lèvres, mais il n’est pas empli de joie. Bien qu’elle se régale de l’irritabilité qu’elle entends dans la voix d’Iryon. « Non. Je ne rentrerai pas. » Le petit faon était blessé. La considérer comme n’importe quelle autre femme ? Elle haïssait ça.

Du menton, la brune désigna la bouteille qu’il tenait entre ses doigts. Il l’avait récupérée au passage, laissant une brulure invisible sur ses doigts fins. « Tu as pris la bouteille. Tu as fait ton choix. Maintenant, j’ai autre chose à faire. » Dambi lui offrit un clin d’œil avant de se tourner vers la grille, qu’elle escalada plus rapidement qu’elle ne l’aurait jamais pensé. Comme si un redoutable prédateur était à ses trousses et qu’elle se devait de faire tout son possible pour lui échapper. De derrière la grille, elle manqua de tomber sur le sol et vacilla en se réceptionnant sur ses pieds. Les bouteilles tintèrent avec force dans son dos. Posant sa main en visière sur son front, elle tendit ensuite son bras vers le ciel en riant. « Passe une bonne soirée avec ton soju. » La jeune fille, une fois stable, ajouta dans un grand sourire, fière d’avoir une fois de plus obtenu ce qu’elle voulait : « J’ai des gentils petits garçons à aller voir. » Elle reprenait ses propres mots. Même s’il était proche de la vérité, extrêmement proche, ses phrases étaient emplies de bien trop de cruauté pour qu’elle les oublies. Mais au moins, elle avait gagné son pari et réussit à passer cette fichue grille. Dambi était une tête brulée, qui n’écoutait rien ni personne. C’est la raison exacte pour laquelle son père avait décidé d’engager ce stupide chaperon. Généralement, elle faisait tout pour obtenir ce qu’elle voulait, telle la petite fille de riche qu’elle était. Son caractère jouait aussi pour beaucoup, et le manque d’attention de son père trop occupé avec son travail. La lycéenne tourna le dos au mafieux, avançant dans la pénombre. Elle lui avait échappé, du moins elle le pensait.
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Lun 17 Déc - 2:25
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outfits  Un autre refus de la part de l'adolescente. Il n'arrivera donc jamais à rentrer pour pioncer. Un soupire d'agacement s'échappe d'entre les lèvres d'iryon. Et en cet instant, l'envie de griller un bâton de nicotine grignote ses pensées. Première fois depuis bien longtemps que cette envie resurgi. La faute à cette gamine irrésistible. Iryon regarde quelques secondes la bouteille dans sa main, prix de l'ultimatum que la jeune femme lui a donné. Il peste légèrement, et lorsqu'il regard en direction de Dambi, celle-ci est sur le grillage, à l'escalader. Un rictus apparait sur les lèvres d'iryon. Vraiment amusant comme situation. Si Dambi savait que ce grillage, c'est comme un petit muret pour lui, elle ne se donnerait pas autant de mal. Et il observe la jeune femme atterri de l'autre côté du grillage, fière d'elle. Vraiment adorable.. Seulement, ses mots tiquent légèrement le jeune homme et ses sourcils se froncent d'irritation. Il déteste vraiment l'idée qu'un gosse ait pu toucher Bambi. Mais qu'est-ce qui ne va pas avec lui !? Il secoue la tête, se retirant des images obscènes de l'adolescente avec un autre. Et sans plus attendre, le mafieux dépose la bouteille de soju dans l'herbe avant d'escalader en deux temps trois mouvements le grillage. Il atterrit sur ses pieds, dans un parfait équilibre. Des années de pratiques, ça aide.  

Ses pas se font rapides vers la jeune femme ; jusqu'à la rattraper. Ses doigts fins s'enroulent autour de son bras, la stoppant dans sa marche. Et dans un geste brusque, il retourne l'adolescente, pour qu'elle lui fasse face. Son visage n'est plus aussi neutre. Une aura des plus effrayantes émane d'iryon. « T'as cru que je te laisserai partir comme ça ? » sa voix est plus grave, la colère s'entend parfaitement. Sa patience s'est envolée. « j'ai respecté ton deal. Alors maintenant on rentre. »  Et d'un geste, l'adolescente se retrouve sur l'épaule d'iryon, portée comme un sac à patates ; les bouteilles de soju tintant bruyamment dans son dos. Le mafieux ne se dérange pas pour placer une main sur le fessier de Bambi, son autre bras entourant les cuisses de la jeune femme, pour qu'elle ne donne pas de coups de pieds violents. « j'ai été assez gentil avec toi, princesse. » rétorque-t-il, toujours autant énervé. Il marche discrètement vers la sortie du palais, ne pouvant pas escalader le grillage avec Dambi sur son épaule.

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Lun 17 Déc - 11:31
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outfits Pensant lui avoir échappé, Dambi marchait dans la nuit en direction du temple pour rejoindre son groupe d’amis. C’était sans compter sur le mafieux qui la rattrapa plus rapidement qu’elle ne l’aurait cru, empoignant son bras et la forçant à se tourner pour lui faire face. Elle dégluti, la colère et l’impatience suintait de tous ses pores, s’entendant dans sa voix et se voyant dans ses geste. Son bras lui faisait légèrement mal, mais elle agissait comme si elle ne sentait absolument rien. Elle n’eut pas même le temps de répliquer, seulement d’ouvrir ses lèvres, avant qu’elle ne se retrouve propulsé sur son épaules. Il la retenait avec force, une main contre ses jambes et une autre contre ses fesses. Dambi aurait plus qu’apprécié ce geste en d’autres circonstances. Là, elle essayait de se débattre et frappait de ses petits poings le dos d’Iryon. « Menteur ! » cria-t-elle en continuant de marteler son dos avec la force d’un chaton. C’était une danseuse, pas une boxeuse. Les bouteilles tintaient avec violence dans son dos et ses cheveux lui recouvrait la moitié du visage. Il l’avait positionnée là avec une telle facilité… Cela ne faisait que lui rappeler combien elle ne pouvait rien faire contre la force de ce baby-sitter. « Tu n’as respecté que la moitié de mon deal. On était censé boire cette bouteille ensemble. » Il lui avait dit les raisons de cette nuit, avec des mots crus et blessant. Que ce n’était qu’une fille comme une autre et, qu’ainsi, elle ne méritait peut-être pas plus qu’une autre d’être à nouveau contactée.

Finalement, elle se résigna et cessa de se débattre sur son épaule. Seul un rire traversa ses lippes en constatant la direction dans laquelle il se dirigeait. Il prenait clairement le pas de l’entrée, bien qu’il avançait discrètement dans la nuit. Ce qui semblait normal pour la lycéenne, autrement quoi son père ne l’aurait pas engagé ; de plus, elle ne l’avait pas entendu la suivre, aussi cela ne la surprenait pas. « J’espère que t’as une idée, ou au mieux une excuse pour passer les barrières et gardes du temple. Pourquoi penses-tu que j’ai escaladé ce grillage ? » Appuyant ses mains sur son dos et tentant de rester plutôt droite, elle observait les alentours en se demandant par où il comptait bien passer ou comment il allait pouvoir s’y prendre. Peut-être tout simplement en se faisant passer pour le bon garde du corps qui sauve la petite bourgeoise d’une possible garde à vue. « Sérieusement, tu comptes réellement me ramener jusque chez moi sur ton épaule ? » Un long soupir lui échappa. Au moins, il faisait son travail. Il restait fidèle aux missions que monsieur Koo lui avait confiées, ce qui était tout de même légèrement vexant pour l’adolescente. Cette dernière aurait de loin préféré qu’il prenne son parti plutôt que celui de son paternel. « Aller. Pose moi s’il te plaît. T’es chiant… J’ai compris. T’as gagné. T’es le plus fort. » Dambi s’était amusée de lui, Dambi s’était vexée à cause de lui, Dambi s’était battue contre lui. Mais à présent, elle voyait simplement quelqu’un de dur et froid, qui exécutait les tâches de papa Koo. Il était employé et payé pour ça, c’était certain. Et ses actions étaient bien plus adultes que celles de la jeune fille qui tentait de le prétendre. C’est son cher père qui allait être heureux !
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Lun 17 Déc - 23:43
can you feel the love tonight ?
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Une accusation sort de la bouche de la jeune femme. Iryon, un menteur ? Effectivement, ça lui arrive de dire un mensonge ou mille. Seulement, le mafieux s'en tape. Il poursuit son chemin, Dambi gesticulant sur son épaule. Il grogne légèrement, donnant une tape sur son fessier pour qu'elle arrête de bouger, alors qu'elle crie encore au mensonge. « C'est déjà suffisant. » Rétorque-t-il, de sa voix, toujours emplie d'agacement. Certes, il n'a pas été des plus doux dans ses explications. Il sait parfaitement qu'il a blessé l'adolescente. Et pourtant, il ne pense pas un seul instant à lui présenter des excuses. Ça fait bien longtemps qu'iryon n'a plus énoncé des regrets pour son comportement. La seule personne qui a pu en recevoir, c'est la seule femme qui l'ait pu aimer.. Kelya. Et un rire l'interpelle. Pourquoi ce rire ? Il peste. Mais au moins, le mafieux est soulagé que sa proie ne bouge plus autant sur son épaule. Puis la voix de Dambi résonne aux oreilles d'Iryon. Un petit sourire de vainqueur orne ses pulpeuses. Naïve princesse. Et tant mieux. Il ne répond pas, reprenant son silence habituel. Il sait pertinemment comment faire. Passer devant les gardes, tout simplement. L'influence de Nabi sur cette île surprend toujours autant Iryon. Et les gardiens en font partie.

Il continue sa route, la demoiselle sur son épaule. C'est vrai qu'elle devient lourde ; même si Ron a une force développée, grâce à son don. Mais il ne veut pas la lâcher. Il ne souhaite pas lui courir après. Et Dambi déblatère encore. Il se demande si elle arrête lorsqu'elle trouve enfin le sommeil. Pourtant, le mafieux adore l'entendre ; que ce soit son rire ou ses réflexions de petite fille pourrie gâtée. Le jeune homme refuse d'être attiré par l'adolescente. Il ne peut pas. Il se perd dans ses pensées, jusqu'à ce qu'une mélodie s'entend. « Qu'ai je gagné ? Une sortie nocturne, à ramener une gamine chez elle, au lieu d'une bonne partie .. » Iryon s'arrête dans sa phrase et soupire à son tour, déposant Dambi au sol. Ses doigts tiennent fermement le bras de l'adolescente. Ses iris noisette observent le visage de sa victime. « Écoute..Si tu veux vraiment te bourrer la gueule, fais-le dans ma piaule. Personne ne te verra dans un état pitoyable et tu ne pourras pas faire de connerie, que tu pourrais regretter le lendemain... et surtout, j'aurais un œil sur toi. » Dit-il sérieusement, sa prise se desserrant du bras de la jeune femme. Il espère qu'elle ne marque pas facilement, sinon il aura affaire au procureur Koo.
electric bird.

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