(([Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien])) C'est incroyablement bien ordonné une base militaire. Tout est propre et carré, chaque procédure se fait dans l'ordre et les déplacements sont très contrôlés. Ça va me changer du club où je travaillais. C'est pas plus mal, je m'adapterai vite. À peine arrivée ils m'ont rapidement emmenés à mes "appartements". C'est comme ça qu'ils l'appellent, j'ai hoché de la tête et je les ai suivi. Puis j'ai découvert qu'il y avait un sous-col, un immense sous-sol. Je ne l'avais pas visité le jour de mon entretien mais là encore ils m'ont dit que c'était normal, qu'un changement de dernière minute a été fait et j'allais être mieux logée. Je ne cracherai pas dessus alors, je les ai suivi docilement. Et en effet je n'ai pas été déçue. Mes appartements ressemblent à une véritable chambre luxueuse. Je n'en crois toujours pas mes yeux. C'est spacieux, énormément spacieux, de quoi y vivre à plusieurs facilement. Sauf que cette chambre m'est réservée. Elle est à moi. Il y a une magnifique salle de bain, une baignoire qui peu se transformer en jacuzzi. Si j'avais su que les militaires avaient autant d'argent, j'aurai postulé bien plus tôt ! J'ai passé une bonne heure à analyser la pièce de fond en comble, à tester le lit, les options sur la télé, examiné les armoires. Et évidemment j'ai pris des photos pour les envoyer à ma mère. Sauf que je ne capte absolument rien d'ici, je les lui enverrai plus tard quand je remonterai à la surface. Puis j'ai défais ma valise et j'ai commencé à ranger mes affaires. Le luxe je n'y suis pas habituée, mes vêtements paraissent ridicules avec ce décor. Ça serait presque comique sauf que ceci est bien réel. Je vais vivre ici pendant trois mois alors, autant en profiter. C'est le moment de laisser les regrets de côté et surtout, la peur. Je serai bien planquée ici, ils ne me retrouveront pas. C'est même sur et certains.

Après l'installation prête, je m'étais préparée à commencer le boulot. Sauf que cela a été retardé au lendemain, j'en ai donc profité pour me reposer et regarder la télé toute la soirée. Voilà longtemps que je n'avais pas connu un tel confort ou que j'avais pris le temps de me reposer. C'était quelque chose de relativement rare avec mon ancien travail, voir quasi inexistant. La nuit a été bonne et c'est bien la première fois de ma vie que j'ai dormi dans le calme absolu, mon sommeil a été réparateur, je ne m'étais jamais sentie autant reposée une fois réveillée. J'ai pris avec plaisir une douche chaude, une fois prête j'ai attendu. L'heure s'est mise à tourné et j'ai commencé à me poser des questions. Pourquoi est ce que personne ne vient me chercher ? C'est étrange, la personne qui m'a embauché est censé venir me trouver ce matin pour me guider pendant ma première journée. Mais personne ne vient. Il est 9h30 et toujours rien. Je m'assois nonchalante, tentant de trouver du réseau avec mon téléphone. Toujours rien. Merde, c'est bizarre. Puis enfin, des bruits de pas s'approchent de ma chambre et un tapotement contre la porte me fait porter ma voix pour signaler que la personne peu entrer. Et là, je vois un visage inconnu. Même deux. Un grand homme blond s'approche et un autre homme brun reste en retrait. Mais qui sont-ils ? Je ne vais pas tarder à le découvrir. " Bonjour, vous êtes ? J'attends Mr Kim pour commencer ma journée de travail. Vous savez s'il va venir ? " Calme, je les observe, commençant à douter de l'organisation des militaires.

(([Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien])) Encore et toujours les mêmes murs blancs à perte de vue. Y'a pas à dire être coincé entre quatre murs n'était absolument pas aux goûts de Ren. Non, lui il avait été toujours friand de liberté, le genre de gars qui dicter les lois et à qui on n'en imposait aucune en retour. Sauf que là, il était coincé. Prisonnier dans sa belle cage dorée et captif d'une île où il semblait destiné à finir ses jours. L'avenir semblait aussi radieux que la gueule qu'il tirait h24. Ce matin n'échappant pas à la règle, il était d'une humeur exécrable et Yeong Cheol en avait, pour la énième fois, fait les frais. Il le détestait presque autant qu'il haït cet endroit et ces connards d'occupants. En parlant d'occupants, on l'avait chargé de s'occuper des nouveaux "cobayes". Ren avait doucement ri, on lui refilait le sal boulot. Jusqu au bout l'armée coréenne n'avait rien dans le bide. À croire qu'en cas de dérapage il balancerait qu'il était le cerveau, le Japonais cinglé derrière tout ça pour relancer je ne sais quel débat. Il soupire, las. Il n'a ni l'envie ni la patience de faire ça. Sa vie est d'un ennui mortel ici. Son ancienne raison de vivre qui était la recherche est à présent bafouée par son omniscient. Il a l'impression d'être maudi. D'être un Icare des temps modernes. Le genre de génie qui si près du but à chuter pour se retrouver prisonnier de ce qu'il avait pourtant toujours désiré : la connaissance. Il passe une main énervé dans ses cheveux à ses pensées alors qu'il arpente les couloirs suivis de son fidèle medor comme il aime si affectueusement l'appeler. Il s'arrête devant une porte et interroge Yeong Cheol sans une once d'émotion dans la voix "C'est ici .". Ce dernier acquiesce et Ren lui fait signe de la tête de frapper pour lui. Jusqu'au bout, ce connard rendra la vie de son garde du corps la plus irritante possible.

La porte s'ouvre et il rentre comme chez lui, ne prêtant pas vraiment attention à l'occupante il observe les lieux. Sa chambre à lui est encore plus grande et luxueuse, ça va ces connards ne lui ont pas menti sur tout, il est clairement un prisonnier Vip. C'est la voix de la jeune femme qui le pousse à enfin poser son regard sur elle. Monsieur Kim ? Who the hell is that ? Il comprend enfin et ne peut s'empêcher de sourire doucement. Alors y'a vraiment des gens assez naïfs ou désespérés pour tomber dans le panneau de l'armée ? Si elle savait dans quoi elle c'était embarqué pas sûre que son joli minois resterait aussi souriant. Il la juge de haute en bas en silence. Elle semble en bonne santé, jeune, il n'est même pas étonné que l'armée l'ai choisi après tous les échecs cuisants auprès de cobayes plus âgés et fragiles. Voyant très bien qu'elle n'allait pas laisser tomber sa question, il soupira "Y'a pas de monsieur Kim et y'en n'a certainement jamais eu. Tu t'es juste faites avoir comme une bleue et maintenant t'es coincée ici à vie. Destinée à être la chose de l'armée" il n'y allait jamais par quatre chemins et ne prenait jamais en compte les possibles conséquences de ses paroles. Il alla s'asseoir sur l'un des fauteuils, et poursuivi toujours sans une once d'émotions dans la voix "Bon ne perdons pas notre temps plus longtemps." il fixa son regard dans le sien avant de lui demander d'un ton des plus sérieux "Dis-moi quel est ton pouvoir pour qu'on en finisse vite" il voulait retourner dans sa chambre rapidement pour jouir de sa pseudo-liberté en paix alors il espérait qu'elle soit un minimum coopérative pour leur éviter de passer à la méthode forte.

((tenue)) Il était évident que ce mec face à moi n'est pas Mr Kim. Et il est évident que je ne l'ai jamais rencontré. Alors, pourquoi est-il là, en compagnie d'un autre homme ? L'autre qui ressemble plus à un garde du corps qu'autre chose. Il me fait penser aux gorilles de la boite de nuit où je travaillais. Je les observe en silence, tentant de garder ma raison. Ce ne sont pas ces hommes que j'attendais, ça n'annonce rien de bon mais, peu-être que je me trompe. Peut-être qu'il cherche autre chose. Je brise donc le silence en première et demande qui ils sont. Je m'adresse surtout à cet homme aux cheveux blond et au regard de glace. Mon ton reste calme et poli. Et c'est lorsqu'il brise le silence à son tour que je comprends que quelque chose ne va pas. Mes poings se ressere, ma gorge se noue. Ses paroles tellement étrangères, j'ai l'impression de rêver. Pourtant ce n'est pas un rêve. Je reste bêtement muette face à son ton arrogant et dur. " Pardon ? " Je penche la tête, commençant à réaliser ce qu'il se passe. C'est un piège. Un putain de piège. Je me suis faite avoir comme une bleue comme il dit. Je fronce mes sourcils et serre mes poings un peu plus fort. Il continue de parler, comme si de rien n'était. Me posant une question qui me fait douter de nouveau. Mon pouvoir ? Pourquoi il veut savoir ça et comment il pourrait savoir que j'en ai un ? Mes soupçons se construisent petit à petit, il doit bosser pour mon ancien patron, je ne vois pas d'autres solutions. " Vous travaillez pour Seo Jun c'est ça ? J'y peux rien si les flics vous ont chopés, j'ai toujours fait mon travail. Qu'est ce que vous me voulez de plus ?? " 

J'hausse le ton et reste en retrait. Je vais pas me laisser faire par ces types, comment ils ont pu me trouver d'ailleurs ? Je me suis enfuie en étant invisible, ils ont pas pu retrouver ma trace comme ça, c'est pas possible. Je continue de fixer le mec qui me parle. Visiblement il semble la tête dirgeante vu que l'autre ne dit rien. " Et j'ai pas de pouvoir, de quoi vous parlez ? Je suis juste venur pour travailler. " Je tourne autour du pot, pour le faire parler un peu plus. Si ça peu me faire gagner du temps, je pourrai tenter de courir et de m'enfuir. Car cette situation ne me plaît pas du tout, deux types contre une femme, je sais très bien comment ça va finir. Ce n'est pas moi qui vait gagner et j'ai pas envie de savoir ce qu'ils vont me faire. Non, c'est même hors de questions que je reste dans cette pièce une seconde plus.

(([Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien])) Un ennui mortel peut-il mener au sadisme ? Voilà le genre de réflexion qu’avait Ren en ce moment alors qu’on lui refiler la misérable tâche de s’occuper des prisonniers. Faire le sale boulot, obéir comme un toutou bien sage qui tend la patte sous peine de se prendre le coup de bâton. Il méprisait au plus au point ce manque de liberté. Pourtant il jouait le jeu car sans ce pseudo statut de VIP il ne sait pas s’il tiendrait. Manger ou être mangé. Voilà le jeu mortel dans lequel il s’était lancé avec les miliaires. Une vraie partie de poker ou le faux-semblant primait sur la dangereuse vérité. Alors qu’il s’occupait aujourd’hui d’une nouvelle arrivante, il gardait son éternel air de blasé. Il lit la confusion dans le regard de la nouvelle mais dommage pour elle, elle n’aurait pas la moindre preuve de compassion de sa part bien au contraire. Il se disait qu’elle ne devait pas être si maligne que ça pour être tombé pour l’appât du gain. Il poursuit avec ce même ton monotone pour ensuite entrer dans le vif du sujet. Observant en silence le moindre de ses gestes il remarque qu’elle sert les points et devine que cette fois-ci encore les militaires ne se sont pas trompé en la capturant. S’il s’attendait à un déni immédiat, il fût pourtant surpris par le flux de paroles rapide qui frappa ses tympans. Ne cachant pas son agacement il roula des yeux avant d’ajouter « Je ne connais ni ce Seo Jun ni vos petites affaires donc ne tente pas de changer de sujet tu veux. » Elle préférerait probablement qu’il soit l’un des hommes de ce mec mais dommage pour elle, la situation actuelle était bien plus compliqué que cela. Le déni arrive enfin. Il soupire, c’est toujours la même rengaine ici. Les militaires les ont sélectionné et kidnappé, à quoi bon mentir quand l’on est déjà cramé, Ren ne comprend pas. À leur place il coopérerait afin de comme lui gagner des avantages. Enfin, tous n’étaient pas aussi futés et stratège que lui. Il commence alors à feuilleter le dossier qu’on lui avait filé et commence son monologue « ‘Leekpai Azalaïs, née le 1er juin 1994 en Corée, vit avec sa mère qui a visiblement une santé fragile, semble avoir participé à des activités criminelles mais aucune preuve formelle n’a été identifier, on soupçonne que son pouvoir lui a permis de toujours de s'en sortir… Je continue où tu captes enfin la situation dans laquelle tu te trouves ? » Tout cela lui semblait être une perte de temps monstrueuse. Il se décida enfin à se lever pour s’approcher un peu plus et plonger son regard dans le sien « C’est plus avec Seo Jun que tu joues à présent mais avec quelque chose qui te dépasse largement, alors soit plus coopérative avant que je perde patience ». Son ton n’était pas dès plus menaçant mais son regard montrait clairement que ce n’était pas des paroles en l’air. En plus il y avait des chances pour que ce pouvoir sans encore un truc complètement stupide et inutile pour l’armée, dans ce cas ça serait un adieu pour elle à présent qu’elle en savait trop.

((tenue)) Je suis confuse et je l'exprime très clairement. Et en même temps je le provoque, subtilement, du moins c'est ce que j'essaie de faire. Et il semble mordre à l'hameçon. Et en même temps, j'ai peur qu'il soit un de ces mafieux qui cherche à me retrouver. Car si c'est le cas, je cours un grave danger. Mais si ce n'est pas le cas, je ne vois pas ce que ce type peut me faire de mal. Personne peu me faire peur après ces tarés de mafieux. Ils sont prêts à tout pour leur fric et leur réputation. C'est donc naturellement que je cite le nom de Seo Jun. Et il réponds aussitôt, semblant être énormément lassé par la situation. Je le regarde soupirer, il est agaçant. Et il réponds sèchement. Je fais donc de même. " Je n'essaie pas de changer de sujet, simplement à savoir qui vous êtes. " Et c'est la pur vérité, je cherche juste à savoir qui il est et ce qu'il me veut. J'aimerai pouvoir le cerner vite, car là je me retrouve en position de faiblesse et il ne semble pas vouloir me le dire. À la place, il se saisit d'un dossier contenant des papiers. Il l'ouvre et se met à les lire à haute voix.  Je reste muette, l'écoutant nommer toutes les informations qu'il a sur moi. Des informations sur ma vie, sur ma mère et mon soit-disant passé criminelle. J'hausse un sourcil lorsqu'il prononce sa dernière phrase. La plupart de ces informations sont vrais mais il n'y aucune preuve. Il ne tient rien contre moi dans ce petit dossier. Ce n'est que du bluff. " Et donc vous avez un dossier sur ma vie et des infos même pas vérifiées et vous pensez me faire peur ? Vous avez des preuves au moins ? " Je serai prête à parier qu'il n'a absolument aucunes preuves. Sinon il ne ferait pas tout ce cirque et ne se montrerait pas menaçant. S'il a de réel infos sur moi il n'aurait même pas besoin de se montrer autant autoritaire. Je reste sur ma position qu'il bluff complètement. Il n'a rien contre moi et il cherche juste à me faire craquer. Je croise les bras, confiante que ce type ne pourra pas m'atteindre. Il n'est pas une menace. Juste un débile qui s'est cru plus fort que moi. Je continue de l'écouter, le regardant se lever et plonger son regard dans le mien. Manque de bol ça ne marchera pas pour m'impressionner. " Quelque chose qui me dépasse ? C'est plutôt vous qui êtes dépassés par la situation visiblement car vous n'avez aucunes preuves formelles sur mes soit disantes "activités criminelles". Et donc vous êtes là devant moi, en train d'essayer de m'impressionner à tenter de soutirer des infos. Sauf que c'est pas vraiment efficace. Vous n'avez ni l'air d'un militaire, ni d'un médecin et vu comment vous avez l'air fatigués de la situation je pense même que vous êtes ici à contre coeur. Donc soyez déjà un peu plus convaincant, prouvez-moi vos propos et là peut-être que je vous écouterai." J'hausse le ton sur la fin de ma prise de parole, je le regarde une dernière fois avant de filer pour me diriger vers la porte de ma chambre. S'il croit qu'il peu me garder ici, il se fout un doigt dans l'oeil.

(([Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien])) Y'a pas à dire, cette femme semble représenter tout ce qui ne te plaît pas chez tes compères les êtres humains. Elle répond à tes questions par d’autres questions, elle reste évasive et semble croire que ce petit jeu va continuer ainsi. Mais elle se trompe, la patience ne fait pas partie de tes qualités. Elle ne veut pas parler soit, elle ne parlera pas, il n’a rien besoin d’entendre pour savoir tout d’elle, mais ça elle l’ignore. Alors qu’elle le questionne sur son identité il reste silencieux. Moins les prisonniers en savent sur lui mieux c’est. Après tout, il n’a pas à se mélanger avec eux, il est au-dessus d’eux et compte bien le rester. Pourquoi mélanger l’intelligence avec la betise ? Il soupire quand elle parle d’accusation sans preuves. Décidément elle est conne ou tente juste de se convaincre qu’elle est en sécurité. « J’ai plus de preuves sur toi que quiconque sur cette planète, je voulais juste rendre la chose plus amusante pour moi mais visiblement tu’es boring as fuck » il ne mâche pas ses mots. Ren a toujours été cash mais avec ses nouvelles capacités il a encore moins de filtre qu’avant. À présent tout est prétexte à l’ennui alors quand il tente un minimum d’apporter un peu de piment dans son quotidien sous la forme d’un jeu et que son où sa partenaire le lui refuse délibérément il se montre des plus hostile. Vous pouvez comparer cette attitude à celle d’un gosse capricieux, il s’en branle car au final peu importe la partie ou la mise, il finit toujours par obtenir ce qu’il veut d’une manière ou d’une autre. Elle  ne semble pas le moins du monde effrayer ou même hésitante face à ses menaces. Ren sourit doucement, peut-être que son nouveau jouet a plus de caractère que les autres. Il s’approche d’elle pour lui barrer le chemin. Il lui saisit le menton pour plonger son regard dans le sien, ne la lâchant pas du regard il lit tout son passé en l’espace de cinq secondes avant d’ajouter d’un petit sourire « C’est d’avoir été dans le lit d’autant de mecs qui te pousse à avoir autant de reparti face aux hommes ou le fait qu’au fond t’a peur de ce dont ils sont capables d’où  cette façade de confiance pour te protéger ? » il lit de la surprise dans son regard et poursuit  « tu n'as pas besoin de savoir qui je suis ou ce que je fous ici, tout ce que tu dois retenir c’est que pour survivre va falloir être plus docile » le tenant toujours le menton il dit fermement en anglais « Sit. » en la regardant choir sur la chaise. Un petit tour de passe dans le futur que Ren avait l’habitude de pratiquer pour masquer son réel pouvoir. Une petite perte d’énergie qu’il paierait dans 5h et ça Yeong Cheol semblait le savoir au vu de sa grimace. But fuck him and fuck that cursed power. Au moins à présent le doute s’emparerait de son esprit et elle serait plus docile

((tenue)) Il pense pouvoir me faire peur ou m'impressioner mais il se trompe complètement, il se met même le doigt dans l'oeil. Je ne céderai pas à ses menaces et ne me laisserai pas impressionée. Si je lui montre la moindre fragilitié il va en profiter. Je connais ce genre de type. Manipulateur et tortionnaire. Il veut juste montrer qu'il est supérieur à moi mais, pas de chance pour lui, je ne lui laisserai pas avoir ce plaisir. " Wow rien que ça ? Et vous êtes qui pour savoir tout sur moi ? Mon père ? Arrêtez donc d'essayer de me faire peur ça marchera pas et c'est vous qui êtes ennuyant." Je continue de le vouvouyer, pour accentuer la distance entre lui et moi. Puis lassée par la situation, je décide de m'en aller. Profitant d'un moment de répis et d'une ouverture. Mais ce sale type me barre le chemin et pose ses mains sur moi en m'attrapant le menton. Et il parle de nouveau, plongeant son regard dans le miens. Pendant un court instant un frisson de peur m'a parcouru. Mais, je ne vais pas le laisser gagner, je lui réponds donc ; " Et ça vous exite de savoir que j'ai couché avec autant de mecs ? Vous vous prenez pour un mentalist mais vous savez rien sur moi. Alors taisez-vous et lâchez moi." Puis d'un mouvement brusque il me pousse pour me faire assoir. Je crois rêver, mais c'est qui ce fumier ?? Et il parle encore, se prenant pour un dieu tout puissant. Ça m'énerve et ma patience à des limites. " Haha mais vous avez rien compris à la survie ! C'est même tout l'opposé. Vous avez cru que dans ce monde en restant docile on survit ? C'est tout l'inverse, c'est marche ou crève. Je sais pas qui vous êtes et j'en ai rien à foutre ! Mais j'vais pas me laisser impressioner par vous, qui obéissez surement à des ordres. Alors, faites ce que vous voulez, mais je serai pas docile. " Je me lève d'un coup, puis sur un coup de tête je me dirige vers lui pour le pousser. Il m'énerve de trop. Il aura rien de moi, je veux juste partir d'ici. Et c'est pas lui qui va m'en empêcher, ni son toutou derrière.
Et puis s'il savait vraiment tout de moi, il devrait savoir que je ne céderai pas.