(outfits) ~ Sa queue de demoiselle en détresse entre mes fesses ? C’est hors de questions qu’on touche à mon fessier où qu’on s’approche de mon anus. C’est un sens unique. J’éjecte les petits cadeaux malodorants de cet endroit. Je ne veux rien, mais absolument rien ne rentre par cet orifice. Pas une queue d’une personne que je viens tout juste de rencontrer et que j’ai « sauvé » d’une détresse humiliante ni même un quelconque objet. Ma tête y refuse d’imaginer ses potentiels options et cela ne m’intéresse aucunement. Je préfère nettement mieux les courbes féminines, les nymphes qui se dandinent devant mes yeux. La peau si douce et des atouts que nous les mecs n’ont pas. Adorant d’ailleurs les poitrines à malaxer et les postérieurs arrondis que je pourrais claquer de temps à autre durant nos plaisirs. Donc non, qu’un homme puisse m’approcher de cette façon, non. Je n’ai rien contre à ce sujet. Si la princesse à mes côtés à ce genre d’orientation, soit, je lui laisse ce plaisir, sauf qu’il ne m’approche pas de manière lascive ou voulant me rapprocher de moi car rapidement il va déguerpir la queue entre les jambes. Sur ces coups-là, je suis bien sérieux. Je peux dépanner en me faisant passer pour un gay pour être solidaire envers eux, mais je suis 100% hétérosexuel. Les hommes ne m’intéressent aucunement pas. Impossible. Il y a une erreur qui survient dans mon cerveau de mâle désirant une femelle. Certainement que je lui ai fait une expression assez monotone. Pokerface, en lâchant un « cute » sarcastique de mes lèvres. Je suis bien curieux de savoir comment que la soirée allait continuer et en même temps non. Pourquoi donc ?

Enfin, il s’exécute en touchant mes fameux boutons. Ce n’est rien exceptionnel, mais au moins, il met la main à la pâte. Cette princesse doit faire quelque chose car elle est dans mon chemin. Elle s’avère utile malgré son commentaire qui m’a quelque peu déstabilisé et questionné sur la vraie nature de ce mec à mes côtés. D’ailleurs, j’en perdais quasiment mes mots. Une chance que la musique occupe tout mon esprit pour ne pas que j’envenime la situation avec mes idioties. J’aurais pu carrément jeter l’huile sur le feu, mais ayons un peu de contenu. Le pauvre, il va avoir une gueule de bois horrible s’il continue à boire comme une personne qui ne sait pas se contrôler. Justement pourquoi il boit ma bière ? J’ai soif. Voilà qu’il boit plus que la moitié ? Je fais quoi pour endurer cette soirée énergique ? Je prends ma bouteille entre mes doigts en tentant d’avaler tant bien que mal le peu de salive que j’ai après tout, toute l’eau de mon corps se retrouve à se perler au niveau de mon front juste en dessous de ma casquette. Bon et bien, va pour la gorgée ! Je peux désormais me vanter – ou pas - que j’ai embrassé un mec indirectement. En fait, il n’a rien à se vanter personnellement.

Une musique ultra sensuelle ? Je regarde mon publique en touchant quelques boutons en ayant ma bière dans une main. Une chanson lascive. Ma règle d’or ? Bon sang, il ne sait pas à quoi il s’attend réellement. Je sors un truc pareil, la chaleur va monter. Ça va se frotter, onduler, ça va être excitant que beaucoup d’entre eux vont quitter le plancher de danse pour s’en aller et continuer leur accolade plus loin ou ailleurs. Il ne sait pas. Je souris, amusé par ce retournement de situation. Est-ce qu’il est prêt à jouer avec le feu ? Est-ce qu’il est prêt à se battre contre ses envies primaires ? Honnêtement, je n’ai rien contre. Cette nana qui monte et qui danse magnifiquement de ses jambes dévoilées et de sa poitrine généreusement dévoilée. Je suis le maître, le travail avant tout. Il ne sait pas à qui il a affaire. S’il pense que je suis un obsédé qui saute sur tout ce qui bouge. « T’inquiète, Ma p.r.i.n.c.e.s.s.e sera servie. Vos désirs sont des ordres. » Déposant ma bière sur le sol, en attendant le bon moment avant de diminuer le son bien tranquillement de la mélodie avant de commencer une un peu plus chaude. Je lui jette un coup d’oeil rapide quand le mec à mes côtés donne un billet à la nana pour aller nous chercher à boire. Le rythme de la foule a radicalement changé et l’ambiance également. « Est-ce que tu es prêt à affronter ta demande ? » Pourquoi je dis cela ? Parmi les corps à corps un peu plus bas, je vois la jeune femme ravissante revenir avec les verres ainsi que son amie. Je lui ai montré du menton avant de me replonger sur ma table de mixe. Jouant avec les boutons. Ensuite, je finis cul sec ma bière. Je me penche vers mon nouvel ami : « Attend-toi de ne faire plus qu’un avec la scène, habituellement les femmes sont très tactiles. » je souris en le narguant du regard.

Je tends le verre de la mignonnette avant de le déposer sur le sol à côté des deux autres bouteilles vides. Par la suite, je prends délicatement la main pour la faire tourner sur elle-même en lui disant quelque chose à l’oreille avant qu’elle se sépare de moi et qu’elle se dirige vers mon assistant de la soirée. Je lui laisse le champ libre pour gérer les deux nanas en ébullition qui ne souhaitent passer une belle soirée en bonne compagnie. Je ris un bon coup avant de faire un petit salue de la main en continuant de jouer avec mon instrument de musique. J’adore mon taff, rien n’est plus plaisant que de jouer avec les mouvements de chacun. Rien n’est plus amusant que de jouer avec les sons pour créer quelque chose. Tu ne peux pas te lasser avec ce genre de métier. L’apprentissage est sans fin.

(outfits) ~ Me tournant vers ma table. Laissant mon nouvel ami avec deux belles créatures dansées contre lui. Parfois j’osais un regard taquin avant de me rendre contre que l’amie de la beauté à lui revienne vers moi. Les interrogations me bombardent quelque peu l’esprit en me disant que peut-être il avait du mal à gérer deux ravissantes nanas. Je lui fais un sourire charmeur en lui prenant la main pour la faire approcher vers moi. Mon visage près de son cou, je lui souffle doucement pour lui faire frissonner d’envie. La voyant davantage collante et tactile, je souris encore plus. Non. Pas de coup ce soir, mais une danse je ne dirais pas non ceci dit. Déposant mes écouteurs sur mes appareils, je dépose mes mains sur ses hanches en allant suivre ses déhanchements. La sentant ses mains au niveau de ma nuque. Sentant davantage le postérieur féminin se coller contre moi. Inconsciemment, je lève les aux yeux ciel me disant que c’était trop facile. Une femme facile n’est jamais amusante à conquérir surtout lorsqu’elle vient quasiment en rampant devant toi en demandant de l’attention. Pourquoi ne pas profiter de toute façon ? Je suis le maître de cette soirée, tous ceux qui sont en bas de mon podium et même princesse sont à ma merci. Mes mains montent tranquillement vers sa taille et encore plus haut. La chair de poule transparaisse sur sa peau. Toutefois, mon attention se tourne rapidement quand Haru se lève. Un souci ?

Un sourire victorieux. Un gars saoule ne peut se contrôler dans de pareil circonstance et c’est comme ça avec toutes les personnes qui puissent exister sur cette terre. C’est partout comme ça. Je prends mes casques d’écoute lorsque justement il prend la parole en disant qu’il allait se vider d’un coup dû à l’alcool. Je hoche la tête en touchant quelques boutons de ma table quand la seconde jeune femme se mette à danser ? Oh ! Calmez-vous. J’ai peut-être un bon contrôle de mes pulsions, mais de là à gérer deux nanas qui se frottent littéralement sur moi, je me sens envahis. Prenant la taille d’une pour la coller contre moi. Lui prenant doucement le menton pour y déposer mes lèvres sur cette mâchoire avant de lui susurrer quelques mots doux et demander mielleusement de quitter ma scène. Je m’étire le cou avant de remettre une chanson plus entraînante sachant pertinemment que quelques personnes ont quitté pour pouvoir aller batifoler ailleurs. Sauf qu’une question me trotte dans la tête lorsque je constate que la princesse n’est pas revenue de son trône. Un léger coup d’oeil vers les toilettes où les places possibles qu’il aurait pu rester, mais rien. Peut-être que monsieur a décidé de quitter ? Peut-être que monsieur est en train de mourir sa vie dans les toilettes aussi ? Je l’ignore.

Malheureusement, la soirée a une fin. De plus en plus de personnes quittent l’endroit soit étant trop ivres, soit la chaleur de deux individus faisaient une certaine chimie pour continuer ailleurs tout en se léchant les amygdales ou soit ils sont claqués de cette nuit de débauche. Personnellement, je suis assoiffée et non parce que je voulais de l’alcool, mais bien que j’avais chaud et il faut tout de même que je diminue mon taux d’alcool dans le sang avant de reprendre la route pour retourner chez moi. Je coupe graduellement la musique pour commencer à ranger mon équipement. Quelques individus ont resté pour papoter bien sagement au bar. Officiellement la soirée est terminée et je pourrais retourner chez moi ; prendre une bonne douche ; puis dormir pendant quelques heures avant de reprendre ma folle journée avec mon gamin, mon cousin et ses bêtes qui me cassent les couilles. Mettant mes objets de valeurs dans leur étui respectif. Mettant le tout dans la valise ma bagnole, je verrouille la porte pour aller demander à la toute belle au bar deux bouteilles d’eau avant d’aller aux toilettes. Vérifiant les quelques cabines pour finalement remarquer qu’il n’y a personne. Où peut-il bien être ? Je le vois bien joncher sur le sol en train de dormir dans un endroit totalement inconfortable et stupide. Je sors de la pièce, les bouteilles en main, je pose la question à la nymphe derrière le comptoir. « Tu aurais vu un mec, bien habillé, la chemise blanche et un genre de foulard bleu ? T’sais celui qui a voulu faire qu’un avec le comptoir durant la soirée. » Cela fait un certain moment qu’elle n’avait pas vu c’était normal que cela lui prenne du temps. Et dès ma réponse donnée - qui concerne la plage – je lui lance un clin d’oeil et un tip avant de me diriger vers le sable et la mer. Pourquoi n’ai-je pas pensé que lorsque nous sommes KO le vent saline nous rafraîchit l’esprit et on veut nager ?

Marchant dans le sable. Finalement je vois un corps mort. Les vêtements qui volent sous le vent. Je ne sais pas ce qu’il a pu faire pendant mon absence et je ne veux pas le savoir, mais je dépose une bouteille d’eau près de sa tête. Ouvrant la mienne et en lui versant sur son visage avant de prendre une bonne gorgée d’eau. M’accroupissant près de lui en regardant la bouille. « Ma belle au bois dormant, arrête de faire des scénarios, tu es en état de rentrer chez toi ? »

(outfits) ~ Tout le plaisir était pour moi en versant de l’eau à son visage. Ce mec jonché sur le dos à la plage. Il était là, en train de se pavaner sans se soucier que des voyous trop saouls avaient pris ses godasses pour les lancer plus loin. Le sourire malicieux qui s’affiche de plus en plus quand il tente de se débattre en vain contre ce réveil tout à fait désagréable. Il aurait pu rapidement remédier la situation s’il est sobre, mais il ne l’est pas. Au lieu de ça, il tente d’éviter comme un désespéré. Je tente de me moquer à l’intérieur de moi, mais ce fut la goutte qui a débordé le vase. Je me suis mis à pouffer de rire à cette vue. Surtout la grimace qu’il a pu faire. Sur ce coup, j’ai grave géré. Malheureusement, il a su rouler afin de déguerpir de ma torture. C’est en le voyant rouler que je vide carrément mon contenu de la bouteille. Une de ses soifs ? En quelque sorte, disons que je n’allais certainement pas gâcher cette eau fraîche. Disney ? Il me tique de curiosité ce mec. Il connait les classiques ? Des enfants ? Des sœurs, des frères ? Évidemment que je connais mes classiques grâce à mon fils. Certainement, je l’ai regardé croche lorsqu’il a mis ce film pour regarder avant de le jeter au bout de ses bras. Films de princesses, c’est non. Une chance que je n’ai pas de filles, j’aurais galéré en chantant incessamment libéré, délivré avec elle, malgré que ça ne m’aurait pas déplu ; au contraire.

Glissant mes doigts dans mes poches, un petit papier entre ces derniers. « Je ne suis pas du même avis car Prince Philipe a eu les numéros des princesses.» fis-je en secouant le papier devant ses yeux. Finalement, la main – qui était dans le sable il y a peu – se retrouve sur son visage. La grimace qu’il a fait. Je continue de ricaner avant de lui donner officiellement la seconde bouteille d’eau que j’avais pris pour lui. En se redressant, je ne suis pas surpris de le voir aussi assoiffé que cela pour le boire et finir dans l’immédiat. J’aurais pu lui balancer une connerie, mais je ne le connais pas tellement et surtout que je ne connais pas où que son humour se rend. Malgré que ce n’est pas l’envie qui me manque de lui dire que c’était de la pisse qu’il venait tout juste d’ingurgiter. Non, je vais aller trop loin si je lui dis cela comme cela. À mon cousin, j’aurais dit avec plaisir. Feignant de me faire un facepalm au visage lorsqu’il mentionne qu’il pourrait aller à l’autre bout de la terre les yeux fermés. Non. Il n’est pas sobre. Un mec dans son état s’imagine que l’impossible devient possible et vice versa. Tout comme conduire aka marcher à grande vitesse sur l’accotement pour te rendre chez soi. Non, tu ne fais pas. Tout comme vouloir sauter dans la piscine à partir d’un toit de cinq étages. On ne fait pas ça, ce n’est pas très conseiller surtout que ta vie va être extrêmement en jeu si jamais tu as le courage de faire cela. Dans ce cas-là, je reverrai ses idiots à l’hôpital.

Ma proposition vulgairement refusée. Je me recule de quelques pas en me redressant pour pouvoir contempler la scène avec amusement. S’il ne veut pas, qu’il assume. Premier essai ? Il tombe rapidement sur les fesses. Deuxième essai ; il réussit. Je le félicite grandement car beaucoup aurait tombé à cette étape et les autres également. Il prend souvent des cuites pour pouvoir être habile ? Sauf que quelque chose me surprend de plus belle. Quoi ? Il s’attaque réellement ses bermudas ? Mon expression du visage a passé à l’amusement au dégoût. Donc quand il a eu sa petite danse privée avec la nana, il était tellement allumé qu’il a finalement quitté le spectacle ? Pour ça que je me retrouvais avec les deux coquines qui se déhanchent comme des jeunes félins en chaleur. Ça ne m’a pas déplu, au contraire, j’en ai profité au max jusqu’à temps que je les demande de quitter mon podium. Sauf que pendant tout ce temps absent il était en train de … Il a fait pleurer son cyclope à la plage ?! Et il a essuyé ses larmes comment ? En fait, je ne veux pas savoir ce détail. Je veux effacer tout cela de ma mémoire quoique ça serait une belle anecdote à dire à Daeshim le lendemain. Il va tellement rire.

« Tes godasses sont à ta droite... » fis-je en le regardant bizarrement quand il a marché vers la mer. Qu’est-ce qu’il fout ? Il est en train de chercher ses chaussures dans la mer ? Bonne chance pour accomplir cette quête moussaillon. C’est cherché carrément une aiguille dans le foin, littéralement. Je fais quelques pas pour prendre ses souliers et en allant près de lui je me fais arroser. Dire que je me disais que je vais être gentil et lui proposer d’aller l’apporter chez lui ou bien de lui demander gentiment de dormir chez moi le temps qu’il soit apte à conduire, mais... l’envie disparaît soudainement. Mon expression tout à fait neutre, je me tourne vers l’étendue d’eau afin de pouvoir me préparer à lancer au bout de mes bras ses godasses. « J’imagine que tu n’as pas besoin de ça ! »

(outfits) ~ Pourquoi je m’occupe de lui déjà ? Pourquoi je suis venu chercher de ses nouvelles alors que j’aurais pu le laisser dormir paisiblement sur la plage ? Son pantalon ouvert, le vent qui glisse sur ses vêtements. Il aurait pu se lever le lendemain matin avec des bêtes qui lui tournent autour, avec un rhume ou bien se retrouver dépouiller, ou bien toutes ses réponses. Pourquoi je me retrouve avec un poids de plus sur mes épaules ? Je crois que c’est mon sens de responsabilité en tant que père qui a fait en sorte que je suis parti à sa recherche. Non. Tout simplement que la princesse m’a fait bien marrer toute la soirée. Voulant se jouer de moi, mais dans le fond, il s’est sauvé la queue entre les jambes. Euh... La queue coincée littéralement dans ses caleçons. Donc si je l’aime plutôt bien ce mec, pourquoi je fais tout pour lui pourrir l’existence et de ne cesser de le taquiner ? Ce n’est pas comme ça que les choses fonctionnent quand on se créé un lien ? Ou bien que je m’amuse bien de le mener au bout du nez. Des hypothèses rien de plus, uniquement un beau mélange de tout ça.

« Non, pour une princesse en fait. » rétorquais-je à sa question. Je pourrais totalement lui dire qu’il était mon ancêtre, mais je crois bien que nous avons le même âge ou bien je suis plus vieux que lui ? Ses chaussures entre mes mains, je le vois qu’il a cessé de faire l’enfant. Il me regard d’un air en me traitant de débile. Je le suis peut-être, mais je le suis avec lui qu’il est totalement vulnérable dû à l’alcool. Je pourrais le mettre KO si je le voulais, mais je ne le ferai pas. Le pauvre va se poser des questions pourquoi des hématomes sont apparus sur son corps, pourquoi il a mal ici, pourquoi il se retrouve nu comme un verre dans une chambre d’hotel sans personne à ses côtés. Sur cette pensée, je fais un sourire malicieux. Je vais totalement me dilater la rate en voyant sa réaction le lendemain matin si lendemain aura. C’est quasiment tentant, peut-être le ferais-je en allant l’apporter chez lui ? Encore plus alléchante cette idée. Les bras désormais croisés, je le regarde de façon provocatrice. Inspectant le moindre geste qui pourrait faire à mon égard. Attendant un coup fourré, pour le moment non. Il ne s’est pas rendu compte que j’avais ses chaussures dans les mains depuis qu’il était dans l’eau ? Un sourire moqueur affiche sur mon visage. Une belle histoire à raconter à mon cousin ça.

Je tape son épaule avec son soulier qui tombe littéralement sur le sol. Toutefois, sur ce geste. Il m’empoigne ma chemise qui m’a fait perdre pied. Putain, cette princesse a plus de force que je le croyais. Ma tête tombe première dans l’eau. Me redressant en toussant un peu, j’ai lancé instantanément la chaussure qui a resté dans mes mains plus loin sur la plage et j’ai fait la même chose avec le second qui se retrouvait non loin de nous. Il veut me faire chier ? Pinçant ma casquette, je la retire pour pouvoir secouer mes cheveux afin de pouvoir les sécher un peu. « Ah bon, ça te fait marrer ? » Je me penche vers l’eau en ayant la casquette à l’envers. « Je vais t’aider à te dégriser un peu, je crois. » Trempant mon couvre-chef dans l’eau, je lance l’eau à sa direction. Le ralenti qui s’est produit devant mes yeux. Je ne pensais pas que j’avais ramassé autant d’eau, il va être trempé ! Un noooooooooon, sort de ma bouche, mais cela a été trop tard. « Oh ! » je dépose ma main sur ma bouche avant de mettre ma casquette sur la tête et partir en courant. « AHAHAHAHA! » m’exclamais-je en me dirigeant vers l’objet convoité. Je suis dans la merde, ou pas, jusqu’à la tête. J’attend à des représailles ou je m’attend qu’il se venge. Je le connais à peine, mais je me marre comme c’est pas possible !