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childish – seongsu & uta
Anonymous
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Mar 2 Avr - 23:28
childish
vendredi. fin d'après-midi. toujours la même routine, toujours le même hobby. une fois la dernière heure de cours sonnée et tous ses petits élèves récupérés par leurs parents, uta se retrouve en tête-à-tête avec son fils sora. ce dernier, souriant à pleines dents, la tire par la manche en disant d'un ton enthousiaste et impatient : "on y va ? dis ? on y va ?" un fin sourire sur les lèvres de la mère qui, dans un rire cristallin, lui demande un peu de patience, le temps de réunir ses affaires et fermer la porte de la classe à clé. "maintenant c'est bon, on peut y aller." vendredi en fin d'après-midi, c'est toujours cette même routine, ce même hobby : aller au parc, rentrer plus tard. parce que c'est le week-end et que le week-end les petits garçons peuvent s'amuser plutôt que s'attarder sur leurs devoirs.

complexe scolaire quitté, bref trajet en voiture réalisé, véhicule garé, mère et fils se tiennent désormais face à cet endroit que sora attend avec impatience chaque fin de semaine. son balle en mousse, presque aussi gros que sa tête, maladroitement maintenue contre sa poitrine à l'aide d'un bras tandis que de l'autre, il ne lâche pas la main de sa génitrice. il ne la quittera qu'une fois arrivé au petit terrain vague où les enfants se réunissent pour jouer au foot. ou bien parce qu'il aura vu, au loin, un ami à lui. drôle de fierté virile commençant si tôt, si jeune.

à peine arrivés à un banc sur lequel s'asseoir et poser les affaires, uta sourit malicieusement en voyant le regard de son enfant. il est attiré par le petit terrain comme un objet métallique a une attirance vers un aimant. "va y." lui dit elle accompagné d'un geste du menton en guise de feu vert. "tu viens zouer au foot avec moi ?" l'expression du petit garçon la fait craquer. elle mord légèrement sa lèvre, fronçant les sourcils en un air désolé. "trésor, tu sais que maman est très nulle pour jouer au foot..." le petit allait rétorquer lorsque, subitement, une voix les interpelle. un timbre quelque peu familier : coucou sora ! coucou madame kurosawa ! les deux concernés tournent la tête en direction de la voix. uta s'empresse de se relever pour s'incliner maladroitement en guise de salutation. toujours si conventionnelle, comme si elle ne le connaissait pas depuis une paire d'années. seongsu et son fils dont elle est, en tant qu'enseignante, chargée.



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Seon Seong Su
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À Jeju depuis le : 30/03/2019
Wons : 9843
Messages : 195
Pouvoir : Confusion
Malédiction : -
Âge : 25 ans
Métier /études : DJ / compositeur
Les amours : What?
Logement : Daejong
Célébrité : Jackson Wang (©Canopus)
Situation rp : ouvert.
Doublons : Shin Jisu | Ye Sun
Seon Seong Su
Sangsu« Modo & Seonchul »
Sangsu
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Ven 5 Avr - 3:32

(outfits) ~ Une sacrée nuit que j’ai passée. Me défoulant sur ma table de mix ayant la tête reposée puisque mon fils était en bonne compagnie. La foule qui se déhanche et qui se dissipe peu à peu pour laisser place aux retardataires qui ne veulent tout simplement partir préférant de boire leur misère. J’ai finalement fini par me casser de ce club. Prenant mon pc, ainsi que mes écouteurs, j’ai pris mes cliques et mes claques et je suis barré dans ma voiture. Quoi de plus virile une bagnole d’un homme avec un banc pour enfant juste derrière? C’est ma fierté, je ne le cache pas non plus. Mon gosse est ma raison de vivre depuis qu’il a eu la séparation assez anodine avec sa mère. Me laissant avec un bébé naissant dans les bras sans instruction, rien. J’ai tenté tant bien que mal de gérer comme il se doit. J’ai passé d’énorme nuit blanche, des journées à ne pas dormir pour réussir à capter les moindres envies. Bien des coups, j’ai merdé. Bien des coups, j’ai voulu abandonner, mais ce n’est pas humain d’abandonner un enfant innocent tel que Ka Nim qui n’a pas demandé de venir au monde. Il a été conçu et maintenant il vit, donc je vais l’aider à vivre dans le droit chemin autant que possible. Ne désirant pas qu’il suive mes pas. Je suis dans le côté obscur de la force alors que lui est ma lumière de ma noirceur.

Ce qui est plus étrange; c’est que je travaille sans arrêt. Même si j’ai fini mon rôle de dj, il faut bien que je m’occupe du rôle de père. En entrant chez moi, j’ai ramassé quelques babioles qui trainent ici et là pour ne pas qu’on puise marcher dessus à notre insu – dieu sait que c’est horriblement douloureux de marcher sur un lego – surtout dans la noirceur. Je n’ai pas vu le temps passé puisque le temps que je m’étale sur le canapé et que je regarde un peu la télévision pour finalement tenter de m’endormir, un petit homme est venu grimper sur moi en me faisant son câlin habituel. Enlaçant pendant que le petit m’embrasse la joue avant d’enlever ma casquette et de le mettre sur la tête. Oui, un nouveau jour pour lui, mais contrairement à moi, je ne dormirai pas de sitôt. Je dois m’occuper de mon mini moi. Le changer, le faire bouffer et aller le mener à la petite école.

Quand je suis revenu de ce voyagement, je peux enfin relaxer ou plutôt m’ennuyer. Me retrouvant en caleçon dans ma chambre, j’ai pris mon bas de pyjama pour ainsi dormir. Dormir profondément pendant quelques heures, car oui, je ne dors jamais les huit heures qu’on devrait dormir. Je n’ai pas le temps et j’ai plein de compositions que je dois faire pour les maisons de disques pour les nouvelles idoles, les nouvelles stars et même celles qui sont d’actualités. Même si on me considère paresseux en travaillant chez moi lors de la création de mes mélodies, je suis nettement travaillant que n’importe qui sur cette île. Préférant écourter ses nuits pour avoir du revenu et passer du temps avec son môme. Un jour, je tomberai, mais ça ne sera pas aujourd’hui. Vers l’heure de midi sonne ainsi je me lève pour prendre ma douche. Me regardant dans le miroir quand je me brosse les dents me disant que je suis qu’un abruti en étant un père célibataire et faire des horribles trucs à l’insu de son fils. Bien, si c’est comme ça je veille à son bonheur, pourquoi pas? Je ferai absolument tout pour qu’il soit heureux, pour qu’il ne manque rien. C’est pour cela que je travaille quasiment sans arrêt, oubliant quasiment le temps passé. Oubliant de se nourrir. Oubliant presque d’aller chercher mini champion à l’école car oui, l’heure a énormément tourné. C’est ça que ça fait quand on travaille et on vit pour sa passion, le temps passe à un battement de cils.

Et oui, je suis allé chercher Ka Nim à l’école. Nous sommes vendredis et à chaque vendredi on se dirige vers le parc pour aller se défouler un peu. Dépenser de l’énergie et de passer du temps entre père-fils avant que je puisse retourner travailler. Les vendredis ainsi que les samedis sont les pires nuits de la semaine. Ce sont les deux jours de la liberté. Libéré, délivré, c’est décidé je m’en vais! Oui, c’est comme cela que les bêtes de la planche de dancefloor se dit quand c’est le temps de se dévergonder. Je détache mon mini moi et je le dépose sur le sol. Ainsi je le vois accourir vers l’activité du parc. «Ka Nim, tu m’attends!» fis-je sévèrement en claquant la portière. Quand quelque chose ne me plaît pas, je n’ose pas à lever le ton sauf quand il s’agit de s’amuser, mais quand il faut cesser, il faut cesser, n’est-ce pas? Je prends la main du mini champion. Quand mini-me a parlé, j’ai relevé ma tête en souriant. Comment il peut être adorable quand il salue comme cela, coucou… il me fait rire. Près de la maîtresse Kurosawa, j’ai lâché la main de mon gamin, ainsi lui donnant la permission d’aller jouer avec Sora, pendant que je me suis assis auprès de la demoiselle. «Ça va, Uta?» lui questionnai-je gentiment n’ayant aucune arrière penser avant de déposer mes yeux sur les deux mômes qui tapent le ballon en allant vers le terrain.


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Anonymous
Invité
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Dim 7 Avr - 1:59
childish
si sora était bien parti pour bouder sa mère quand à la réponse obtenue à sa question, c'était sans compter l'arrivée de ka nim et son père. sauvée par le gong, comme on dit. l'enfant ayant vite oublié que sa mère ne joue pas au ballon maintenant qu'il a trouvé un parfait compagnon. uta se suppose pardonnée, de ce fait. restez là où l'on vous voit ! leur lance-t-elle, mains en entonnoir contre les lèvres pour amplifier sa voix. les bambins étant déjà partis comme des fusées, elle n'est jamais sûre de s'être fait entendre.

seong su prenant ses aises en s'installant sur le banc, la jeune femme prend son sac pour le déposer au sol, gagnant en place. une fois assise aux côtés du père, uta garde machinalement cet espace vital très cordial. non pas qu'elle déteste les gens, mais, plutôt qu'elle se sent tout simplement plus à l'aise en ayant son périmètre. particulièrement avec un homme. je vais bien, et vou-... toi ? elle passe nerveusement une mèche de cheveux derrière son oreille. elle se trouve toujours idiote, à vouvoyer des  gens qu'elle connaît depuis longtemps. ça lui arrive souvent, alors sa langue fourche et elle bégaye. ça n'aide pas à se sentir moins bête. elle essaye donc maladroitement de se rattraper en ne laissant pas le temps de l'instauration d'un blanc. je ne savais pas que tu venais là, avec ka nim. tu ne viens pas souvent, ou c'est moi qui suis très distraite en général ? mauvaise manie d'avoir le regard fuyant face à ses interlocuteurs masculins, elle parle sans prendre la peine de le regarder. cela pourrait être pris pour un manque de respect, mais, en tant que père, seong su doit comprendre le fait qu'uta ait les yeux rivés sur les enfants. c'est beau non ? à cet âge là. fait-elle référence aux deux petits garçons se renvoyant tour à tour le ballon. les enfants ont une vision des choses si joyeuse, ça rend un peu nostalgique : on a envie de retrouver l'insouciance de quand on avait 4 ans. un sourire se dessine sur ses lèvres. si gun ho est la pire erreur de sa vie et sa plus grande hantise aujourd'hui, sora en est la plus belle contre-partie. si les choses devaient être à refaire, uta les recommencerait, quand bien même cela fût une période compliquée de sa vie. parce que sans ça, son fils ne serait pas là.



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Seon Seong Su
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Dim 7 Avr - 18:27

(outfits) ~ Ainsi, on voit les petits filés à toute allure plus loin à jouer au ballon. Uta qui tente tant bien que mal de se faire entendre et de leur dire de rester dans notre champ de vision en ayant les mains en forme d’entonnoir. Je siffle, j’ai vu mini-me se retourner, je lui ai fait signe que je le surveille sans parler, tout simplement des gestes. S’il est aussi intelligent que je le crois, il devrait savoir qui ne doit pas aller aussi loin que je lui garde justement un œil sur lui. Même si ça me fait passer pour un père ingrat qui traite son gamin comme un animal et surtout sévèrement, je sais comment sont tempérament est. Il n’a peur de rien tout comme moi, mais surtout têtu. Son éducation? Je ne suis pas sans cœur avec lui, c’est mon môme, mon sang coule dans ses veines. Je lui donnerai ma vie pour le protéger ou je serai prêt à tout pour qu’il soit heureux. Son bonheur avant le mien, sauf que je veux absolument qu’il soit dans le droit chemin. Je reste dans l’ombre, dans la noirceur de la vie, lui aura la lumière. C’est un fardeau que je serai prêt à prendre pour lui car c’est mon futur.

J’ai constaté qu’Uta a changé de place son sac. Je remarque aussi qui a un périmètre impénétrable que je ne dois pas franchir. Disons que l’envie de me rapprocher et de dépasser cette barrière est tout à fait alléchante, au lieu de cela, j’ai laissé échapper un petit rire lorsqu’elle a voulu me vouvoyer. J’ai le même âge qu’elle, à peu près, je ne tiens pas qu’on me vouvoie et si on le fait, je ne peux pas faire grand-chose. Je suis quelqu’un de tolérant pour des petits détails comme celui-ci. Je reporte mon attention sur les petits en déposant mes coudes sur mes genoux. Les contemplant, me disant que cette innocence est quelque chose qu’on voit rarement ces derniers temps. Tout n’est qu’obscurité, corruption dans ce vaste monde. Je tente malgré tout de voiler ses yeux pour ne pas qu’il voit ses atrocités, mais qu’il voit la beauté. Je sais pertinemment que je ne pourrais pas tout cacher, je sais qu’un jour, les secrets se révèleront malgré moi. «Je viens de temps en temps en fait. Habituellement, je vais ailleurs, mais il m’a demandé d’aller au parc. Comment ne pas refuser sachant que Sora ou même toi, vous étiez présents?» lui dis-je tout simplement à son interrogation. Je pourrais continuer cette conversation, mais non. C’est vrai qu’avec les autres, je suis quelqu’un de social qui va dire carrément des conneries pour divertir. Être un vrai bouffon, quoi. Sauf que je suis avec mon gosse, je suis une toute autre personne. Oui, je suis un père, mais je tente malgré tout de jouer le rôle de la mère. Vous ne savez pas comment c’est difficile de jouer deux rôles pour un enfant. Puis quand c’est le temps de la fameuse question concernant le parent manquant, on ne sait jamais quoi dire. On ne veut pas qu’ils se sentent différents parce qu’il manque soit un père ou une mère; ce qui est le cas pour Sora et Ka Nim.

Je souris. C’est vrai que c’est beau à cet âge-là. En fait, un enfant c’est beau à n’importe quel âge. On le voit vieillir, on le voit évoluer, on le voit murer, changer. Tout comme le bébé que j’ai eu dans les bras. Si minuscule, ne cessant pas de pleurer jusqu’à temps que j’ai pris le tour avec lui. Étant paniquer à chaque petit maux qu’il a pu avoir. Allant quasiment à chaque fois à l’hôpital à chaque rhume qu’il puisse avoir. Lui apprendre le plus de trucs, de tour, de mots possible avant qu’il puisse entrer à la maternelle. Éduquant le mieux que je puisse faire. Les voir courir et ainsi se faire des passes avec le ballon, c’est si beau. Encore plus merveilleux de voir leurs lippes s’étirer et de rire aux éclats pour rien. En fait, c’est leur joie de vivre et leur simple d’esprit que j’envie aux enfants. Exactement l’insouciance envers le monde réel. Ignorant de ce qui se passe réellement. Ils ne savent pas ce que s’est véritablement la souffrance psychologique que chacun des adultes ont. Voir la nana qui te fait vibrer d’envie et la voir se glisser entre tes doigts après quelques années de bons moments. Revenant avec un nouveau-né et t’abandonnant de nouveau. Mon impulsivité se jouera toujours de moi et mon don de confusion également. La voir ainsi se jouer des hommes, je ne veux pas qu’elle fasse la même erreur qu’elle a pu faire avec moi qu’avec les autres. Elle m’a dégouté et dire que je voulais qu’elle soit la seule et unique. Une trainée c’est ce qu’elle était et qu’elle restera. Je sors de ma torpeur en réalisant que mes mains se sont formées un poing à cause de la colère que je ressens envers cette femme. Je relâche ma pression et je tourne mon regard vers Uta. «Oui, ils ne savent pas ce qu’est la dureté de la vie. Si seulement on pourrait les préparer à cette… fatalité. » Je ne veux pas que Ka Nim ait cette trahison dans son cœur. Ce goût amer est difficile à oublier.

Let’s kill this love. Je pourrais songer. Sauf où vivrons sans amour, hein? Les hommes sont vils de pouvoir et la guerre est partout. Puis ça ne sera pas plaisant de violer des femmes seulement pour nous reproduire. J’aime quand le plaisir est mutuel. Les caresses, les baisers échangés. L’extase sera plus délectable à fin de compte. «Je ne t’ai jamais vu jouer avec Sora, pourquoi? Tu devrais le faire, la belle bouille que tu auras dès que tu vas toucher le ballon.» conseillais-je avant de tourner mon regard sur les petits. Je ne suis pas le plus doué en conseil, mais au moins sur ce cas-ci leur joie va être au sommet c’est ça qui rend la situation amusante, pas le jeu. Nous sommes des adultes, certains adorent jouer plus férocement, mais avec les gamins, on finit par s’adoucir et faire semblant de perdre ou de tomber juste pour entendre leur rire. De devenir leur bouffon quoi.


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