(outfits) ~ C’est rare que je me lève le matin et que ça soit tranquille. Ni de chaos envers les bêtes de mon cousin qui habite en colocation avec moi ou bien de mon fils qui se laisse tomber sur moi. C’est trop calme et je n’aime pas du tout ça, en fait. Je préfère quand c’est plus trop moins calme et qu’en ce moment ça me prouve le contraire. Je prends mon portable pour regarder l’heure et décidément j’ai paressé un peu trop, on est l’après-midi. Je soupire bruyamment en me levant. Daeshim a été mené Ka Nim à la petite école avant d’aller à son taff et moi, comme un gros porc, j’ai quasiment fait une nuit blanche avant de tomber raid mort dans mon lit sans même avoir entendu mes alarmes. Habituellement je ne dors que quelques heures et voilà que j’ai dormi entièrement ma nuit. Dormir c’est pour les faibles et je n’ai majoritairement pas le temps pour cela. Je préfère de compenser la perte de temps à travailler sur les compositions des maisons de disque au lieu de paresser durant la journée. Je préfère être DJ dans la nuit au lieu de dormir. Voilà que je suis tombé, mais je me suis relevé pour aller prendre une douche et manger quelque chose puisque j’avais la dalle.

Après tout cela, je suis parti chercher mini-me à la fin de l’après-midi à la petite école. Le temps a passé trop vite. Une vraie perte de temps dormir tout ce que nous devons dormir et paresser. Qu’est-ce qui avait de productif alors que j’aurais pu passer mon temps avec mon garçon quand j’ai du temps libre comme en ce moment? Après l’avoir embarqué et attaché soigneusement, j’ai eu l’envie de me promener avec lui à jeju-do. Juste lui et moi et personne d’autre pour nous accompagner. Après tout, son oncle daeshim est trop occupé avec son travail pour se libérer à la demande de son neveu. Je me suis stationné quelque part et on est sorti en prenant une marche. Une promenade tel un père et un fils qui se tienne la main en s’en fichant des regards des autres. Me demandant une glace, je l’ai lâché à peine quelques secondes le temps de sortir mon fric que ce dernier a disparu. «Mais qu’est-ce que?!» J’ai cherché du regard. Il fallait décidément que je le tienne en laisse pour ne pas que sa curiosité puisse prendre le dessus. Non, je ne le ferai pas, mais ce n’est pas l’envie qui me manquait. Finalement, j’ai réussi à le retrouver en se faufilant entre des personnes dans un salon de thé. Je me suis précipité dans cet établissement. Au diable ma crème glacée au chocolat que je voulais tant gouter. Au diable les clins d’œil que j’ai fait à la demoiselle tout en lui offrant mon plus beau sourire. Ce n’est pas la drague le plus important, c’était mon fils. Je m’insulte moi-même, il faut que je reste attentif à ce petit. Il est comment moi; il ne se tient pas en place pendant cinq à dix minutes.

Donc en entrant dans le salon de thé, je l’ai vu vers la queue pour aller à la caisse. Je me suis dirigé vers cette dernière en percutant un mec. Toutefois, j’ai réussi à prendre mon fils dans les bras avant que cet homme soupire lourdement en me parlant de manière agacée. Je me suis redressé avec mon môme dans les bras qui regarde tout comme moi, l’inconnu vexé. Je suis sérieux et j’ancre sévèrement mes yeux dans les siens. Je ne l’ai pas tout à fait remarqué et je m’en excuse, mais de là à être désagréable alors qu’il y a peu j’allais quasiment perdre Ka Nim? « Je ferai plus attention la prochaine fois.» fis-je en faisant signe de la tête en signe d’excuse. «Disons que j’ai voulu attraper ce petit homme qui m’a glissé entre les doigts. Et je m’en excuse.» Aussitôt dit, aussitôt fait. Je lui fais dos pour me diriger vers l’extérieur. Ce que je n’ai pas remarqué néanmoins c’est qu’un petit soulier de mini-me est tombé sur le sol juste à côté de l’étranger. J’ai le petit dans les bras et je tente d’éviter de recevoir des coups d’épaule pour protéger mon gamin. Saleté curiosité d’enfant.

(outfits) ~ Un gamin de quatre ans qui a appris à courir avant de pouvoir marcher. Il ne tient pas en place. Une vraie petite boule d’énergie qu’il faut que je garde toujours un œil dessus. C’est mon fils, c’est moi tout craché lorsque j’étais un gosse. Tout le temps à faire courir mes géniteurs. Tout le temps à faire des mauvais coups parce que justement c’était drôle et me faire engueuler c’était des vraies foutaises. On m’a souhaité en vieillissant que si jamais j’avais des enfants qu’ils vont être pire que moi… Bientôt cinq ans que j’élève mon mini-me. Même s’il me fait voir toutes les couleurs possibles, même s’il me fait baver, même si j’ai le goût de le lancer au bout de mes bras – chose que je ne ferai jamais – il reste avant tout mon enfant, mon bébé. De mon sang. Mon petit monde. Ma raison de mon existence et je ne veux rien au monde ni même une personne puisse le blesser. Je suis prêt à tout pour qu’il soit heureux, qu’il soit bien et qu’il ne manque rien. Que son sourire qui affiché actuellement soit en continue sur son visage. Qu’il soit fier de son père qui prend tout le mal pour qu’il comble môme. Sauf le coup de se tirer en douce pendant que je suis occupé ailleurs, ça c’est inacceptable! Tu vois un mec dans une boutique de jouet et il test ce dernier avant le petit alors que ce petit dernier, il est parti parce que quelque chose lui a attiré son attention? Ce n’est décidément pas un bon exemple, toutefois je sens que je vais faire une syncope plus rapidement que prévu s’il se casse comme ça sans me dire quoique ce soit. Dire que je voulais une mort plus digne de mes espérances. Asphyxié dans une poitrine bien généreuse, je ne dirais jamais non. Ah? Mon garçon? Il sera déjà bien assez vieux le temps que j’attrape cette paire de seins, je crois que je mourrais bien avant que ce fantasme arrive à mon visage.

En plus, en allant dans une boutique et en accrochant un mec désagr- quoi?! Je fronce les sourcils à ce qu’il vient tout juste de dire. Je plisse mes yeux que je répète depuis un moment dans ma tête. «Oui, je te vois, mec…» lui répondais-je de façon incertaine. Est-ce qu’il jouait à un jeu en perspective? Est-ce qu’il devait se faire passer pour un homme invisible durant l’attente pour aller à la caisse? Si c’est le cas, ça ne me dérange pas de faire comme les autres et de l’ignorer et de continuer de le bousculer, toutefois cela reste un jeu assez bizarre. Qui est son adversaire? C’est quoi le but de son jeu finalement? En fait, il y a une caméra cachée quelque part et ils veulent se foutre de ma gueule face à ses absurdités?! En tout cas, si c’est le cas mon garçon sait gravement jouer le jeu car il ne l’avait pas vu avant d’accrocher le mec. «T’inquiète, mec, il y a des jours comme ça que ça semble pire que d’autre.» Un conseil qui vient de ma part? Je penche légèrement la tête sur le côté en m’interrogeant avant de pouvoir tourner le dos de l’individu et quitter les lieux. Depuis quand je suis un philosophe?

Seong su le prophète! Je rigole alors que j’ouvre la porte pour me diriger vers l’extérieur. Mon garçon a la main dans sa bouche se laissant porter à sa guise. J’aurais bien voulu manger une glace à sa compagnie. J’aurais bien voulu voir comment il réagirait à mes «brain freeze». De toute façon, à la moindre occasion que je me fais passer pour un fou, il rit aux éclats. Qui lui a appris à se foutre de son paternel? Daeshim? Ryu? Iryon? Qui est le coupable qui a su lui montrer les mauvaises manies dont de ne pas respecter son père? Arriver sur le trottoir, je dépose Ka-Nim. Ce dernier refuse tout bonnement en levant ses pieds pour se laisser suspendre. Je soupire pendant que le petit commence à rire. J’ai eu des tapotements sur mon épaule. Je lève la tête en voyant le mec de plus tôt dans la boutique. Après sa phrase, j’ai vu la petite chaussure. J’ai rapidement compris en reprenant mon gamin dans les bras. «Ah! Merci!» je me suis exclamé en le remerciant volontiers. Sauf qu’en me retournant pour prendre le minuscule soulier, je me mords légèrement l’intérieur des joues. Sérieux. Je regarde l’homme devant moi. «Ce que je vais te demander pourra te sembler absurde, mais…» Une pause s’en est suivi. Aucun expression se retrouve dans mon visage. Monotone. Je continue : « C’est question de vie ou de mort mec… J’ai le petit dans les mains et monsieur ne veut pas toucher le sol sans avoir sa chaussure aux pieds, peux-tu m’aider s’il te plaît?» Un service à un inconnu, je suis peut-être tombé bas? Au contraire, je ne suis pas une meuf qui est capable d’avoir dix millions de bras pour faire plusieurs tâches en même temps. Je suis un mâle et j’ai les bras occupés à porter le petit. So, c’est normal qu’entre nous, on donne un coup de main, non? Oui, c’est un inconnu et alors? Ça ne dérangeait pas le gosse qui rigole à l’instant.

(outfits) ~ Se sentir invisible. Je n’ai jamais vécu un cas semblable. Personnellement peu importe la situation je ne passais jamais inaperçu. Compositeur, j’étais derrière mon écran pendant de nombreuses heures pour faire quelques chansons avant d’envoyer aux maisons de disques. Sur ce cas-là, oui, je passe inaperçu la plupart du temps vue que je ne quitte jamais l’île. Toutefois, quand je dois aller taff en tant que dj. Je suis le mec qui met l’ambiance. Le seul homme qui porte une casquette sur la scène pour obstruer la vue pour ne pas me déconcentrer davantage ou bien cacher un peu la lumière pour ne pas m’aveugler. Bien souvent mes nuits se terminent dans les bras d’une coquine pompette dû à l’alcool. En compagnie de mes potes, c’est toute une autre histoire. Je suis disons le bouffon. Donc l’invisibilité, je ne connais pas totalement ça. Souvent, je me dis que ça serait bien d’être invisible sous les yeux des autres. De marcher sans qu’on te donne la moindre attention. Tout simplement vivre paisiblement jusqu’à temps que la tension s’enlève de plus en plus de sur nos épaules. J’aimerais ça par moment, mais j’aime ma vie telle quelle également. Et puis, il y a énormément de points négatifs d’être ignoré, car justement on dirait que tu n’existes tout simplement pas. Tu fais tout pour avoir un minuscule regard et non, on détourne le regard se fichant de ce qui arrive sous nos yeux. Bon, dans le cas de monsieur, j’ai seulement foncé malencontreusement sur lui pour attraper mon gamin afin de ne pas le perdre davantage, je ne voulais aucunement le froisser. Et puis, je l’avais remarqué bien avant.

Dans un sens, je le comprends. Être exaspéré au point de ne plus avoir de patience et de lever le ton dès qu’une personne fait quelque chose de déplacer. Le hasard a fait en sorte que cela tombe sur moi et non sur un autre. L’autre mec aurait peut-être fait parler ses poings contrairement à moi qui s’était s’excusé avant de quitter la bâtisse. Honnêtement, sans mon fils dans les bras, j’aurais été plus sec que mes propos. J’aurais été dur envers le jeune homme. Toutefois, mon fils était là, il fallait et même il faut que je lui montre les bons exemples et les procédures à suivre quand tu es dans le tort. C’est vrai que je ne suis pas un saint, mais j’essaie de ne pas faire un faux pas ou être trop con. Je ne veux pas qu’il fasse mes conneries. « Fais ce que je dis et ne fais pas ce que je fais ? » Non, mini-me n’a pas cette logique. Il est du genre à m’imiter ou imiter les autres sans que je me rende compte jusqu’à temps que le mal ait été fait. Absurde. Oui, je sais. Tout comme la situation en ce moment en demande à un pauvre inconnu de mettre le soulier de mon gamin à ma place. Désolé, mais pas désolé ?

Ça m’a amusé de le voir ainsi paniquer quand je lui ai demandé un service totalement absurde. Oublie ça, je vais prendre un malin plaisir de lui jouer des tours si c’est pour avoir de belles réactions comme ça. Je souris légèrement en tenant le pied de mini-me pendant que l’homme met le petit basket rebelle. Je regarde les expressions de l’étranger en rigolant légèrement contrairement à mon gamin qui ne cesse de rire car ça le chatouille. « T’inquiète, tu gères, vieux ! » Dès la chaussure mise, Ka-Nim s’est mis à applaudir. Pendant ce temps-là, j’ai pris mon môme pour le mettre sur mes épaules. Comme ça ; le petit a une belle vue en hauteur et moi, je ne pourrais pas me casser la figure à chaque fois qu’il me fausse compagnie. « Tu vois, c’était pas sorcier ! Je suis bien curieux comment tu vas gérer avec les lacets la prochaine fois. » D’une certaine façon, je lui ai dit cela d’un ton sérieux avant de sourire moqueusement. « Au fait, tu t’appelles comment, monsieur invisible ? » J’entends mon fils répété ce que je dis d’un air enjoué. Je secoue la tête sur ses mots. Vraiment l’innocence des enfants me fascine. Tout est amusant quand cela sort de leur bouche ou quand ils sont dans leur imagination.

(outfits) ~ Une prochaine fois, c’est vrai que ça peut porter la confusion. Comme si je lui disais que dans un futur prochain, il pourrait avoir des enfants en charge dans les bras. C’est vrai que dans un sens, j’aurais réagi de la même façon si je n’avais pas eu mon fils. Avoir un gamin, je ne pensais pas que je pourrais en avoir un. Je travaillais et je travaille toujours autant. Avoir une copine, c’était possible dans mon emploi du temps. Le peu de temps libre que j’avais, je passais avec elle. Sinon je suis toujours un workaholic. Outre pour moi d’avoir songé d’avoir un gosse. Je n’avais pas le temps. Et voilà ce que le karma m’avait offert sous le porche de ma maison : un bébé. Ma nana m’avait abandonné ainsi que le bébé et nous voilà inséparable. Un môme ça change tout une vie. Tu ne peux plus vivre normalement comme avant. Et puis, par moment, je m’en plains, certes, mais désormais je ne veux pas revenir en arrière pour le moindre du monde. Ka-Nim, mon fils, c’est ma vie. La prunelle de mes yeux et rien ne pourra y changer. Puis concernant l’inconnu, je visais davantage qu’on allait se rencontrer éventuellement. Une belle gueule comme ça, ça ne passe pas inaperçu non plus. Et sa réaction est à mourir de rire.

« T’inquiète, j’ai pensé à la catastrophe avant d’avoir mon fils. » Maladroit. Mal habile. Souhaitant quasiment qu’une femme pourrait intervenir, mais non. J’avais vaincu cette pensée pour finalement l’élever convenablement mon fils avec mon cousin, Daeshim. On en avait bavé. Ne jamais dormir pendant de nombreuses nuits également. Par moment, on voulait abandonner, mais non. Je m’étais retrouvé dans cette galère. J’avais fait l’idiot et voilà ce que j’avais et ce que j’ai en retour. Mon champion. Dorénavant que le plus dur est passé. Maintenant ce sont des jours de paix que je passe avec le petit actuellement contrairement à un bébé. À son âge, tu sais ce qu’il veut parce qu’il te dit clairement avec sa voix toute mignonne, mais naissant... je voulais mourir ma vie par moment. Disons que beaucoup de table se faisait renverser devant mes incompréhensions face aux situations incongrues.

Je dépose mon petit sur le sol vu que son soulier a été mis. J’ai sa minuscule petite main dans la mienne pour ne pas qu’il court dans tous les sens, soif d’aventure comme qu’il l’est. Est-ce que j’étais comme ça lorsque j’avais son âge ? Habituellement, nos enfants sont deux fois pires que nous par le passé. Je redoute désormais le pire. Je n’imagine pas comment il va pécho des meufs au lycée. Je sens qu’il va falloir que je calme ses ardeurs plus tard. L’apocalypse arrive à grand pas pour moi, malheureusement. Toutefois, un prénom me vient à mes oreilles. Je souris. « Je suis Seong su. Et le petit, c’est Ka-Nim.» fis-je en pointant mon gamin à question lors des présentations. « Vieux, est-ce que tu veux un dédommagement pour ta commande ? » Oui, les vieux et bro vont commencer peu à peu de sortir de ma bouche. « Kikihyun! » fit mon gamin en question avant de tendre les bras vers son interlocuteur.

(outfits) ~ Peu importe la bonne fortune de ta famille ou la pauvreté d’une autre. Ça ne fait pas de toi la personne que tu es. D’ailleurs, venant d’un milieu assez banal, cela fait partie de moi, mais pas totalement mon moi au complet. Je ne suis pas celui qui va lever le petit doigt et parler en cul de poule pour parler poliment jusqu’à temps que la mort s’en suive. Honnêtement, on s’est présenté, on a discuté, on peut passer à une autre étape que de nous prendre en pincette. Sans doute, que l’éducation des familles huppées sont différentes que celle que j’ai eu, mais je m’en fiche éperdument. Chacun est ce qu’il est. Maladroit ou pas. Con ou intelligent. Poli ou je-m’en-foutisme. Tout cela dépend de la personne qu’on est. Personnellement, étant un homme idiot pour avoir cru que la gonzesse prenait la pilule, cela était mon erreur. Je l’assume totalement sans rouspéter, rien. Toutefois, je n’avais pas la moindre idée que neuf à dix mois après, je me retrouve avec un poupon dans les bras sans avoir le manuel d’instruction. Et malgré mes efforts surhumains, j’avais vu mon cette nana se taper d’autre mec sous mes yeux. Avoir été davantage plus futé à ce moment, je l’aurais mis ce bout de latex pour ne pas lâcher ses quelques gouttes à l’intérieur d’elle. Est-ce que je regrette ? De temps en temps oui, au début, c’était l’enfer, mais maintenant, je gérais. Sans femme, on peut faire des miracles.

« J’ai été autant maladroit que toi, mais t’inquiète, tu as géré comme un chef ! » cette phrase dit de manière taquin. Je m’imagine encore à sa place quand j’ai eu Ka-Nim. La première couche, les premiers vêtements, les premiers boires. Plus qu’il vieillissait et grandissait, les nouveaux vêtements, les chapeaux, surtout les lacets des souliers. On ne cesse d’évoluer en étant un parent. On apprend de nos erreurs, on trouve des astuces. Surtout durant le moment qu’on doit changer la couche. Les accidents et les surprises se faisaient nombreux. On trouve des petites astuces pour nous aider à mieux gérer et à moins perdre de temps pour que le petit perde moins de patience. Chaque chose à son temps. Même moi, même Daeshim était au bout du rouleau jusqu’à temps qu’on puisse travailler en équipe. Il galère lors des repas ? Parfait, je vais faire le repas. Je galère à cause de mon emploi du temps ? SD à la rescousse pour me dépanner. Nous sommes rendus indispensables pour l’autre, comme un parent. Ne vous inquiétez pas, je suis le père/mère et le cousin reste toujours le tonton avec ses quatre bêtes (deux chiens loups et deux chats).

Starbucks. Je lève les yeux au ciel quand il s’est penché vers mon gamin. Un bon café me ferait du bien d’ailleurs. Les saveurs possibles qu’on puisse avoir. L’envie ne manque pas en ce moment. J’aimerais bien avoir un café gratuit de temps en temps, ça me remonterait bien le moral fatigué de temps en temps. Me remettre de ma dure nuit en tant que DJ avant de reprendre le taff en tant que compositeur de maison de disques. Honnêtement pourquoi j’ai deux métiers ? Ah oui, la musique est ma passion, dj est un passe-temps contrairement à compositeur que c’est ma carrière plus spécifiquement. « Mec, starbucks, je t’envie d’avoir des cafés ! » fis-je en ébouriffant les cheveux de mon gamin. Mignon ? Il n’aurait pas dû dire cela, il aurait tendance à le répéter. « Tonton kikihyun ! Viens jouer avec nous au parc ! » Je rigole un peu avant de me gratter la gorge. « Désolé, il t’affectionne... » je me penche vers mon môme. « Ka-nim, peut-être que tonton Kihyun est occupé. » fis-je doucement avant de voir sa bouille toute mignonne en changer en moue désapprouvant ce que je lui ai dit. C’est vrai. Peut-être qu’il ne veut tout simplement pas jouer aux aventuriers avec nous.