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Tell me more ft Hanna
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Shin Jisu
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À Jeju depuis le : 13/01/2019
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Âge : 24 ans
Métier /études : Tatoueuse/strip teaseuse
Les amours : Un homme que j'ai jamais cru tomber amoureuse
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Célébrité : Suzy Bae ( by Urban Night )
Situation rp : ouvert.
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Shin Jisu
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Sam 19 Jan - 19:35

(outfits) Marcher dans mon cartier est si pénible ce matin. Je n’ai presque pas dormi de la nuit et en plus, je me suis tout donnée en dansant la veille. J’ai mal partout, j’ai des courbatures partout et pourtant il faut que j’aille travailler et ensuite retourner danser vu qu’une danseuse a des imprévus ce soir. Pourquoi il faut tout le temps que je dise oui quand on me demande de l’aide? Pourquoi il faut que je coupe mes jours de congés? Pourquoi il faut que je sois fauchée? J’ignore la réponse même depuis la mort de mon fiancé. J’ignore la réponse alors que je donne ma vie à tout ce que j’entreprends. Si au moins, je peux prendre au moins mon souffle entre chaque.

C’est en allant vers le centre-ville que j’ai pensé à ma petite sœur orpheline comme moi. Ça fait un moment que je ne l’ai pas vu. Ça fait un moment que je n’ai pas eu de nouvelle. Ça fait un moment et elle me manque. Elle est occupée avec son travail et moi avec les miens. Ce que j’adore entre nous c’est qu’on tentait toujours de se retrouver. De se soulager du poids des épaules. De dire ce qui nous tracasse ou de seulement parler d’homme. On reste des femmes malgré tout et ce n’est pas illégal de regarder la marchandise, il ne faut tout simplement pas le toucher. Rendue à mon centre de tatou, j’ai croisé une personne qui me dit vaguement quelque chose. Sans gêne je le regarde marcher sur le trottoir. Le visage, la démarche, non… C’est bien la personne que je reconnais de plus en plus..? Je fronce les sourcils en me posant beaucoup de questions. En continuant de le fixer, toujours la clé dans la serrure, je l’ai vu approcher une jeune femme et lui tenir la main, mais d’où il sort lui?!

J’entre dans mon magasin sans plus autant l’ouvrir et je réfléchis. Je prends mon portable et je passe les sms de ma petite sœur pour m’arrêter sur une réponse précisément. Elle est censée être partie en voyage avec cet homme. Elle est censée être heureuse et comblée avec cet homme et voilà que je le trouve avec une autre. Sauf qu’une question s’impose dans cette situation : pourquoi ne m’a-t-elle pas écrit? Pourquoi ne m’a-t-elle pas donné de nouvelles dans une situation pareille? J’ai fait la même erreur qu’elle quand mon fiancé est mort devant moi. J’ai travaillé sans arrêt avant de la voir devant moi, inquiète. Je n’ai jamais été aussi contente de la voir en ce moment-là et elle le sait, car j’ai pleuré toute la nuit dans ses bras en regrettant sa mort. J’ai pleuré en souhaitant ma mort, j’ai pleuré en lui disant que ça faisait mal d’aimer une personne et de la voir partir à contre cœur. Elle le sait et elle fait la même erreur que moi. J’ai jeté un rapide coup d’œil à mon agenda et j’ai vu que j’avais seulement des rendez-vous en après-midi. Voilà, l’occasion pour moi de courir à sa rescousse comme qu’elle a fait avec moi.

Je me précipite vers la porte en le verrouillant soigneusement, j’ai appelé un taxi lui disant d’aller à Daejeong le plus rapidement possible. Je me grouille, je deviens stressée. Arrivant dans cette ville qui m’est familière, je demande au chauffeur d’arrêter, je l’ai payé et sorti du véhicule. Je cours à toute allure alors que les personnes me regardent en me traitant de folle. Je m’en fiche. Ma petite sœur que j’adore plus que tout me cache des choses et je n’aime pas ça. Je cours alors que mes jambes me font mal. Je cours alors que ma respiration commence à être de plus en plus courte. Je cours vers chez elle sans essayer de me perdre. Je cours alors que j’arrive devant des marches. Je maudis les escaliers avant de souffrir le martyr pour arriver devant une porte. Une porte que je connais trop bien. Je cogne à la porte. «Hannaaaaaaaa! Hannaaaaaaaaa tu es là?! Ouvre-moi la porte!» crie-je devant la porte en m’inquiétant de plus en plus. J’espère qu’elle n’a rien fait. Pourquoi je ne me rappelle pas de son code, putain?! C’est simple m’avait-elle dit auparavant. Pourquoi je n’ai jamais de mémoire dans ces moments-là?!


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Dim 20 Jan - 15:07

(outfits) Ce n’était pas encore la joie, elle devait bien l’avouer. Les choses allaient tout de même un peu mieux depuis que son meilleur ami avait fait irruption chez elle, ne lui laissant pas le choix de parler et de lui dire ce qui n’allait pas. Hanna avait eut tort, se couper du monde entier n’aidait absolument rien du tout. Elle ne faisait qu’inquiéter les personnes autour qui tenait à elle. C’est difficile de le réaliser pendant une rupture. On se sent délaissé, pas même capable d’être aimé ou ne serait-ce qu’apprécié. Pourtant elle avait autour d’elle deux personnes extraordinaires. Min Jun et Jisu. Si le premier avait débarqué la veille, la seconde devait être bien trop occupée par ses deux travails. Hanna ne lui en voulait pas. Au contraire ! Elle n’avait pas envie de l’embêter avec un soucis de plus, d’autant qu’elle était censée être parti en vacances avec cet horrible ex-petit-ami. La jeune femme lui dirait tout de cette histoire plus tard, lorsqu’elle pourrait en parler sans remplir une bassine complète de ses larmes.

Pour l’heure, elle avait enfilé quelques vieux vêtements et essayait de rattraper son retard dans les quelques dessins animés qu’elle suivait, de la nourriture peu saine sur la petite table et sa chère meilleure amie allongée sur le canapé à côté d’elle. Canelle était assurément sa meilleure alliée, calme et attendrissante. Pour l’heure, elle désirait plus que tout un morceau de la pizza qu’Hanna engouffrait. Son envie de mauvaise nourriture était plus grande que jamais. Elle ignorait tout de l’heure qui était, mais elle savait juste qu’elle avait besoin de s’emplir de tout ce gras pour se sentir moins triste et moins seule. Oh ! Elle savait que si elle avait appelé Jisu, cette dernière aurait débarqué dans la seconde pour sécher ses larmes. Mais ce n’était pas le moment. C’est ce qu’elle ne cessait de se répéter. Ce n’était pas le moment d’embêter Jisu avec ses histoires d’adolescente qui se fait larguer par son premier amour. C’est la genre de chose qui arrive tous les jours, n’est-ce pas ?

Mais c’était sans compter sur ce lien de véritables sœurs qui les unissaient depuis leur plus jeune âge. On cogna d’abord à la porte. Puis son nom fut hurlé avant qu’on ne lui demande d’ouvrir. L’infirmière aurait pu reconnaître cette voix entre un millier d’autres. Mais elle n’était pas prête. Pas encore. Jisu serait bien capable d’aller frapper ce pauvre garçon si elle voyait Hanna s’effondrer de chagrin. La brune reste d’abord silencieuse, interdite, debout dans son salon. Peut-être que si elle continue à prétendre ne pas être là, Jisu partira ? Mais c’est sans compter sur sa chienne qui secoue la queue et s’approche de la porte d’entrée en aboyant. Loupé ! « Canelle ! Calme toi ! » Hanna repoussa sa chienne en lui ordonnant de rester dans son salon avant de s’approcher de l’entrée. Elle inspira un grand coup, se répétant de se calmer et de ne pas pleurer. Il fallait qu’elle soit forte. Les yeux fermés, elle attendit d’être parfaitement prête avant d’ouvrir la porte, son grand sourire habituel fiché sur les lèvres.

C’est là qu’elle voit sa chère grande sœur, totalement inquiète, le souffle irrégulier d’avoir couru. Non. Hanna n’est pas si forte auprès de Jisu. Son sourire disparaît bien vite de ses lèvres pour se tordre en une grimace, des larmes roulant lentement sur ses joues rebondies. Droite, les bras le long du corps, elle laisse tout le chagrin la submerger entière. Jisu est là. Même si elle ne voulait pas lui parler de tout ça, même si elle e voulait pas lui ajouter un problème de plus, Hanna est incapable de porter un masque et de mentir aux autres. Encore moins à une personne dont elle est si proche. « Unnie… Il… Il m’a quittée Unnie… Co-Comment je vais faire ? » La brune se laisse tomber sur le sol de l’entrée, le visage enfuit dans les manches de son pull. Finalement non, elle ne va pas mieux. L’infirmière pensait aller mieux, parce qu’elle s’était confié à Min Jun la veille. Mais la douleur est toujours là, broyant son cœur si fort qu’elle se demande comment il est possible d’y survivre. Comment Jisu a fait pour y survivre ? Elle se sent stupide. Le drame qu’elle a vécu n’est en rien comparable à sa situation. Pourtant, à cet instant, Hanna se sent comme la femme la plus triste de ce monde.


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Shin Jisu
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Dim 20 Jan - 18:23

(outfits) Dépêche, dépêche! Je veux la voir le plus rapidement possible et la consoler si jamais elle est en larme. Je ne veux pas qu’elle encaisse tout ça toute seule. Je ne veux pas qu’elle fasse comme que je l’ai fait. Même si on tente de faire la forte pour accepter l’inévitable, ça se guérit toujours mal. On a besoin de soutien, on a besoin de quelqu’un qui peut nous écouter sans nous donner des conseils. On a besoin d’une présence et Hanna a été là pour moi quand le pire scénario s’est produit. Hanna était là quand je me suis isolée tout comme elle. Je me suis isolée dans le travail et elle a trouvé le temps parmi son horaire chargé de me retrouver dans mon horaire encore plus chargé. Elle a fait du miracle, mais j’ai tellement pleuré cette soirée-là. J’ai pleuré ma vie comme si j’avais l’impression de mourir, j’ai eu l’envie aussi, mais elle m’a secourue. Elle m’a appris à passer à travers même si elle était mon soutient.

L’attente est insoutenable, mais il a bien quelqu’un dans ce logement. Cannelle n’a pas apprécié que je bombarde de coups la porte et que je gueule pour qu’elle puisse m’entendre. Je sais bien qu’elle aura tendance d’essayer de se cacher pour ne pas ouvrir la porte. Elle pense sûrement que je vais m’en aller si elle fait cela. Si au moins elle savait que j’allais rester là aussi longtemps même si je devais me faire pipi dessus – bon j’exagère c’est une façon de parler – je resterai devant sa porte jusqu’à temps qu’elle ouvre. Sauf ce qui est pratique quand on détient un animal chez soi, c’est qu’on n’a plus ou moins le choix de le gronder lorsqu’il jappe comme cela. Oui, je l’ai entendu parler. Elle est prise au piège, elle n’a plus le choix d’ouvrir sa foutue porte avant que je la défonce ou que je demande à un mec de la défoncer pour moi. La porte s’ouvre et je l’ai vu avec un faux sourire qui disparait aussitôt lorsqu’elle m’a vu. Ses vêtements, ils sont vieux, mais elle a le droit si je peux déduire à son expression qui change a vu d’œil. Les larmes aux yeux qui montent à ses yeux et qui se mirent à tomber. Je rentre dans son appartement en prenant soin de fermer la porte et laisser mon sac parterre avant de la serrer dans mes bras vu qu’elle est rendue sur le sol dans le désespoir total.

Je n’ai jamais aimé voir les gens pleurer puisque j’allais avoir les larmes aux yeux aussi. Ça me faisait autant mal que la personne qui souffrait, je suis faite ainsi. Ma petite sœur qui pleure ainsi pour un connard pareil, mais qu’est-ce que vous voulez que je dise à une situation pareille? Il faut que je trouve des paroles à cela. Je devine qu’elle se compare à moi parce que j’ai perdu mon fiancé, il ne faut pas. Chaque personne est différente et ont leur vitesse d’accepter les choses. J’ai du mal à l’accepter encore aujourd’hui, j’ai du mal à assimiler tout cela même encore aujourd’hui. «Chuuuut, je suis là, je suis là.» tente-je de la rassurer, bon au moins diminuer ses sanglots. «Hanna. Si tu savais ce que la vie peut nous réserver, il ne faut surtout pas arrêter et désespérer sur une personne qui passe comme un coup de vent dans ta vie. Ma Hanna. C’est un sale con, le bon arrivera certainement. Si je pouvais je le trouverai pour toi!» fis-je en souriant et en déposant un baiser sur la tête telle une grande sœur ferait pour sa petite sœur.

Je n'ai jamais eu de famille et elle non plus. Je veux au moins qu'elle soit heureuse et qu'elle ait quelqu'un sur qui compter en cas de besoin comme une famille. J'ai été sa bouée de sauvetage à mainte reprise quand on était à l'Orphelinat jusqu'à temps que je me fasse adopter. Je l'ai terriblement regretté, je l'ai tellement regretté de m'avoir éloigné d'elle et de ne pas avoir été aussi présente dans sa vie. Je le regrette et regarde, on me cache des choses. Je vais y remédier ça, ça va être ma résolution de cette année. «Et s'il te plaît de me cache plus jamais des choses comme ça! C'est pas évident de courir en talon!» Je tente de détendre l'atmosphère alors que je m'extase quand j'ai enlevé mes talons. Qui a eu l'idée de créer ça? C'est moi qui a eu l'idée de courir et de monter les foutus escaliers. Je suis folle! Mais qu'est-ce que je ne ferai pas pour ma petite soeur d'amour?


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Ven 1 Fév - 21:35

(outfits) Hanna venait de s’effondrer. Elle, qui s’était montré si fort depuis le début de la journée, venait de s’effondrer. Pourtant il lui semblait avoir vidé son sac la veille, en la présence de son meilleur ami et second rempart de sa vie. Mais voilà que sa grande sœur débarquait et qu’elle ne pouvait plus retenir bien longtemps toute la tristesse qui l’habitait. Son premier rempart à la vie, le seul pilier de son existence ; impossible de se montrer forte face à elle. Comment l’aurait-elle pu ? Jisu aurait immédiatement su lire dans son regard. L’infirmière ne savait pas bien mentir, de toute manière. Elle se trouvait donc sur le sol, désemparée, les yeux ruisselants de larmes que ce garçon ne méritait clairement pas. La tatoueuse ne tarde pas à laisser son sac sur le sol, refermant la porte derrière elle pour entourer la plus jeune de ses bras. Elle se sent immédiatement prise dans un cocon de chaleur et même si les larmes continuent de rouler sur ses joues, elle se sent envahie d’une chaleur familière qui gonfle son petit cœur. Elle est là. Sa sœur est là. Tout ira bien.

Ce sont les mêmes mots qu’elle lui répète, comme un écho à sa pensée. Jisu la connaît si bien. Les doigts de la jeune femme s’accrochent au tissus comme une encore s’accroche dans les tréfonds marins. Il n’y a qu’elle avec qui elle peut se montrer faible et se laisser aller à la tristesse. Avec Jisu ce n’est plus Hanna qui porte le monde sur ses épaules. Ses mots sont réconfortants et si les sanglots ne se stoppent pas, les larmes au moins cessent de couler. « Oui, c’est un… un con… Mais je… je l’aime ce con, tu sais. » ses paroles sont coupées par sa poitrine qui tressaute entre les bras de sa sœur, qui essaie de la réconforter autant que possible. « Mais… tu as raison. Je trouverai… le bon. » Et elle savait que sa grande sœur serait bien capable de remuer les océans pour lui trouver l’homme parfait, et capable de remuer terre et ciel pour faire payer le plus mauvais. Son sourire et son baiser réchauffent le cœur de la jeune infirmière qui se laisse aller dans ses bras. Comme si Jisu était capable de prendre toute sa peine pour l’avaler toute entière.

Ses nouvelles paroles ont l’effet escompté : celui de lui arracher un rire. « C’est promis. » Hanna attrape le petit doigt de sa grande sœur avec le sien, scellant cette promesse. Les larmes et les sanglots se sont stoppés, bien que ses reniflements soient encore bien trop nombreux. C’est un gros chagrin qui l’a prise toute entière, et le calme reviendra après la tempête, d’ici quelques heures. La brune se relève en esquissant un sourire, déformé par ses traits fatigués. « T’as besoin de pansements pour tes pieds ? Je suis désolée de t’avoir fait courir. » Canelle, allongée un peu plus loin dans la cuisine, observait la scène avec la tête posé sur le sol. Comment en était-elle arrivée à un tel état de tristesse ? Comment pouvait-elle encore se comporter comme une adolescente à son âge ? Elle inspira un grand coup avant de s’avancer plus loin dans l’appartement. « Vraiment… Je suis désolée de t’avoir tant inquiétée… » Tout comme elle avait inquiété Min Jun. Hanna n’était vraiment pas douée pour gérer ce genre de situation. C’était facile de gérer un patient à l’hôpital et pourtant impossible de gérer sa première rupture.

Une fois dans la cuisine, elle sorti du réfrigérateur la boisson favorite de sa chère grande sœur, puis l’amena dans le salon qui se trouvait dans un désordre parfait. Les oreillers jonchaient le sol, le plaid avait volé sur la table où se trouvaient de la pizza, des pots de glace vides et des montagnes de mouchoirs. Sa télévision continuait de diffuser les dessins animés, ces magical girl qu’elle aimait tant. « Pardon pour la bazar. » Des larmes remontèrent alors dans son regard et Hanna ferma les yeux, inspirant et expirant. Quelques gémissement de douleur lui échappaient. Jisu avait dit que ça irait. Il fallait que tout aille bien maintenant. « Shhh… Ca va aller. » Hanna repoussa cette vague avec plus d’aisance que d’ordinaire avant de se tourner vers sa chère sœur de cœur. « Au fait… Comment tu as su que j’étais chez moi ? » Un haussement d’épaules appuya ses paroles. Hanna était censé être en vacances, et même si elle n’avait pas directement menti à la tatoueuse, elle s’en voulait un peu de ne pas lui avoir avoué sa peine et le fait qu’elle ne soit finalement pas partie. Autant aborder le sujet immédiatement.


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Shin Jisu
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Ven 1 Fév - 23:33

(outfits) La douleur, la souffrance que je peux ressentir. Mes battements de cœur, je les ressens à mes pieds. Ça fait si mal, mais pas assez pour ne pas me détourner d’Hanna. Mon attention est sur ma petite sœur, celle qui souffre d’une rupture, celle qui souffre d’une peine d’amour. Si je pourrais prendre toute sa souffrance qu’elle a à l’intérieur de son cœur, je le ferai. Tant qu’elle nage le bonheur ça me suffit, pas que les larmes coulent à flot au point d’inonder son appartement. Un con, un con qu’elle aime oui, mais c’est un con. Un connard qui reste un abruti. Un imbécile qui ne voit pas qu’il avait la femme la plus merveilleuse au monde. À la place d’être une femme, je kifferai sur ma hanna, la demanderai en mariage et lui aurait fait des enfants tout en la rendant heureuse. La vie a décidé que je suis une femme et qui aime les hommes. Les hommes sont souvent sans scrupule en jouant ainsi avec nos cœurs qui ont besoin d’amour. Pourquoi nous avons si besoin d’aimer quelqu’un et être aimé? Pourquoi? Pourquoi se martyriser pour des idiots qui ne voient pas plus loin que leur nez? Je lui caresse en la sentant hoqueter en parlant. Je lui frictionne le bras en l’entendant dire qu’elle trouvera le bon. C’est ce que j’ai bien peur. J’ai peur qu’un homme saute sur sa fragilité pour profiter. Profiter sur son besoin de réconfort, besoin de chair, besoin d’amour. C’est ce que je redoute, j’ai passé par la même passe qu’elle. J’ai été forte, je me suis isolée, mais elle s’est tout récent.

Le rire. Une victoire. Son merveilleux sourire a pris le dessus. C’est promis, m’a-t-elle dit. Promis de ne pas me cacher les choses et de ne pas me faire courir avec les talons. Promesse qui doit être scellée avec un petit doigt ce qu’on fait avec amusement, comme des enfants. Un silence ce fut pendant un moment, je ne sais pas combien de temps, mais j’ai passé le temps de lui faire un câlin. Regarder les alentours en réfléchissant à tout et de rien tant qu’elle arrête de sangloter. Ce fut le cas quand elle décide de se lever que je fais de même. Sa petite bouille remplie de fatigue et de tristesse me brise le cœur. Pauvre petite. C’est normal, tout le monde passe par là avec une rupture, même les hommes. Les hommes sont plus cons, mais ils sont touchés. J’ai regardé mes pieds et étonnement, je me suis attendue qu’il ait du sang partout sur le sol, mais non. Ça tout simplement fait une bulle de sang qui s’est formé sur chacun de mes tendons d’Achilles. Je dépose de nouveau mon regard sur le visage de ma petite sœur en lui souriant : «T’en fais pas, je courrai le marathon pour toi.» Je me dirige vers le salon pour voir ce foutoir qu’elle a pu faire. Merde. C’est si profond cette douleur vive au point de se laisser aller dans la pizza dès le matin? De vider quelques pots de crème glacée? Je ne sais pas pourquoi on prenait de la crème glacée, mais ça donne tout un réconfort pour le moment avant de pleurer à nouveau. La faim n’est pas d’un grande aide dans des cas comme celui-là, non, non.

Je ramasse un peu son désordre. Hanna est tout le contraire de moi. Quand je n’allais pas, je nettoyais tout le temps et même quand c’était déjà propre. À répétition, jusqu’à temps qu’Hanna me dise d’arrêter. Mes mains à cette époque avait de nombreux blessures suite aux détergeant chimique, ça m’avait brûlé, mais étrangement je m’en fichais. J’avais mal à mon cœur et personne ne pouvait rien y faire sauf ma petite sœur. Je ne me rappelle pu ce qu’elle a pu faire pour moi, mais elle a réussi un miracle que personne n’a pas pu faire. C’est mon petit miracle de la vie et c’est pour ça que je lui ai dit que je ferai un marathon pour elle et même plus. Au bout du monde, j’accourrai pour aller la rejoindre en cas de besoin. « T’en fais pas, Hanna, c’est normal que je m’inquiète tu es ma sœur.» Puisque j’ai vu ma belle demoiselle vers la cuisine, je suis allée dans la salle de bain pour aller chercher sa trousse pour prendre les pansements ainsi les mettre sur mes blessures de guerre. Ma pauvre chérie, partout que je vais dans l’appartement est sens dessus-dessous. Si je n’essaie pas de me retenir – oui tantôt je me retenais de tout ramasser – j’aurais fait un gros ménage. Depuis quand j’ai commencé à faire le ménage? Oui, après mon ex c’est vrai, depuis cela a resté malheureusement. Un tic nerveux que je tente par-dessus tout d’ignorer.

Je retourne vers le salon pour m’asseoir sur le sofa lorsque je l’ai vu prendre place à côté de moi. Comme si elle tente de se retenir. Retenir de pleurer car ses yeux se remplissent peu à peu de larmes. Inquiète, je l’ai entendu se parler pour se calmer. Je fronce les sourcils. Il ne faut jamais se retenir dans un cas pareil, mais il ne faut pas se laisser aller non plus. Vous comprenez? Il fallait un juste milieu. Sur le coup, ça fait mal, mais si ça s’éternise sur quelques jours et même plusieurs semaines, ce n’est pas la meilleure des choses pour reprendre le dessus. Je sais par où qu’elle a passé, mais je me sens tellement impuissante. C’est à elle qui doit reprendre le dessus, c’est à elle de se dire qu’elle a encore mal, mais elle ne pleurera plus. Ainsi un deuil se fait. Oui à chaque fois on a les yeux qui se noient d’eau, mais il faut prendre le dessus et c’est comme ça qu’on devient de plus en plus forte. La question que je redoute le plus. J’ai goûté à la boisson que j’aime avant de la regarder. Qu’est-ce que je pourrais lui dire? Je ne peux pas la mentir surtout pas à elle. Alors quoi? Si je lui dis comme ça, elle va se remettre à pleurer et ça va être encore pire que dès que j’ai entré chez elle. Bon sang, la question piège… « Je l’ai vu passer devant mon atelier de tatou, je l’ai vu et j’ai toute suite rappelé que tu étais partie en voyage avec lui. Je trouvais pas ça normal, donc j’ai pris le taxi et je suis allée te voir.» ai-je finir par lui dire. Je n’ai pas entièrement dit que je l’ai vu avec une autre meuf, mais ça, elle ne doit pas savoir surtout pas maintenant. Je lui souris avant de lui prendre la main, chère Hanna, tu peux rien me cacher, je vois tout. « J’ai bien failli demander au chauffeur de l’écraser, mais vu que c’est pas approprié, je l’ai ignoré.» je rigole sur mes mots, car c’est vrai que je l’ai pensé.


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Mer 27 Fév - 23:27

(outfits) Une promesse : celle de ne plus jamais rien lui cacher. Hanna espère de tout son cœur pouvoir tenir cette promesse, même si elle ne peut pas en être totalement persuadée. L’avenir lui réserve tant de choses qu’elle ignore encore. Mais elle est au moins certaine d’une chose : elle fera toujours tout son possible pour ne pas rompre cette promesse. Le cœur d’Hanna couvert d’un pansement tendre d’amour offert par sa chère sœur, elle peut tenter de reprendre contenance et s’occuper de Jisu qui semble avoir donné le meilleur d’elle-même pour atteindre le plus rapidement son appartement. Ses pieds meurtris en sont la preuve. Elle refuse de se faire soigner et une grimace tire les traits de la plus jeune. Peut-être qu’elle changera d’avis d’ici quelques minutes ou heures. Tout simplement parce qu’Hanna voulait autant prendre soin d’elle que Jisu prenait soin de l’infirmière. Aussi, plusieurs fois, elle s’excuse. Même si on lui assure que c’est normal. Même si on lui affirme que c’est parce qu’elles sont sœurs. Depuis son plus jeune âge, Hanna déteste déranger. Et même si elle sait que Jisu peut-être dérangée à n’importe qu’elle heure du jour et de la nuit, elle n’en reste pas moins désolée.

Jisu entreprend de ranger tout ce désordre dans son appartement et si le réflexe premier d’Hanna est de l’arrêter, elle n’en fait rien. C’est son truc, de ranger, d’autant plus lorsqu’elle va mal. L’infirmière se souvient encore de ses mains et de sa peau rongée par les produits ménagers, qu’elle a pris tout le temps de soigner en veillant à ce qu’elle ne recommence pas. C’était la plus jeune qui allait mal, aussi Jisu ne rangeait pas pour se défouler mais simplement pour l’aider. Il ne fallait pas qu’elle repousse son aide, d’autant plus juste après cette promesse. Prenant les boissons, elle voit la danseuse revenir de la salle de bain avec des pansements posés sur ses blessures et un sourire tire les traits d’Hanna. Bien sûr qu’elle allait finir par protéger ses pieds. Une fois toutes les deux assises sur le sofa du salon, Hanna pose cette question qui tourne dans sa tête. Comment ? De quelle manière a-t-elle bien pu savoir qu’elle était encore dans son appartement ? Et la réponse lui remue la poitrine, avant que la seconde ne lui arrache un nouveau rire. « Peut-être que tu aurais dû le faire. » Demander à ce chauffeur de l’écraser pour qu’il ne fasse plus de mal à quiconque. Pour qu’il ne brise pas le cœur d’une autre jeune femme aussi douce et naïve qu’Hanna. Mais au fond d’elle, la jeune femme sait bien que jamais elle ne pourrait lui souhaiter le moindre mal.

Prenant son verre entre ses mains et buvant une gorgée ou deux de son thé glacé, Hanna se demande un court instant s’il va bien et ce qu’il faisait là-bas. L’image de son ex petit-ami lui apparait à l’esprit, même s’il ne devrait pas s’imposer de la sorte. « J’espère tout de même qu’il allait bien… » Un sourire bref tire ses lèvres, teinté d’une certaine mélancolie. Evidemment elle l’aime toujours. Impossible d’oublier un tel amour en seulement une semaine. Même si elle ignore encore que bientôt il deviendra ridicule à ses yeux, qu’elle retrouvera l’amour dans les bras d’un autre, et l’aimera plus fort encore qu’elle n’a jamais aimé personne. Pour l’heure, seul cet idiot comptait pour elle et prenait toutes les places de son esprit. La générique de l’animé s’élève et elle sait que d’ici quelques secondes, le silence retombera dans la pièce. Ce silence qui la fait se sentir vide et la terrorise en même temps. « Tu as fait comment, toi, pour tourner la page ? Je veux dire là, dans ton cœur. » La jeune femme pose ses mains sur sa poitrine, soulignant d’autant plus ses paroles. C’est bien là que tout se passe, et que tout est plus compliqué.

Même si Hanna s’est occupée de cette femme pendant sa rupture et qu’elle a été autant un soutient morale que physique, elle ignore de quelle manière exacte elle a réussit à tourner la page sur son amour. D’après les quelques séries ou films que la plus jeune a pu voir jusqu’à présent, il existe principalement deux manières de se sortir des filets d’une rupture amoureuse : en se renfermant sur soi-même en n’ayant plus aucun contact avec la gent masculine, ou en enchaînant les garçons qui ne durent qu’un seul soir. Aucune de ces deux options ne lui convenait. Hanna ne se reconnaissait pas dans la fille froide et solitaire, pas plus que dans la dragueuse et tombeuse. « C’est idiot mais j’ai l’impression que jamais je n’arriverais à le faire sortir de là. Qu’il y aura toujours une partie de moi qui l’aimera malgré le mal qu’il m’a fait. C’est stupide… » Ou au moins elle se sent stupide, à défaut de l’être réellement. Jisu est passée par là avant elle et même si l’infirmière sait que la situation n’est pas identique, le résultat est tout du moins similaire. Un garçon qui n’est plus là et continue pourtant à meurtrir leurs cœurs.


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Shin Jisu
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Sam 2 Mar - 2:44

(outfits) Venger quelqu’un est une chose, mais de vouloir menacer la vie de ce soi-disant ex en est une autre. Une vengeance est un plat qui se mange froid, qu’on déguste, qu’on prend soin de le planifier pour voir le résultat et d’en rire ou d’enlever la pression qui nous pèse sur les épaules. Menacer une vie d’une personne parce qu’il a fait mal à quelqu’un qui m’est précieux dans ma vie est inacceptable. On ne fait pas ça. On ne brise pas le cœur ainsi alors qu’ils avaient un projet à réaliser entre eux. On ne brise pas une relation si parfaite même pour une nana qui est davantage excentrique et coquette que ma hanna. Ma petite sœur est une déesse en soi. Elle est une sainte, malgré qu’en ce moment elle laisse à désirer un peu, MAIS je la comprends très bien! J’ai été dans le même bateau qu’elle! Je me suis sentie autant moche et instable émotionnellement pour pouvoir me laisser aller dans la mal bouffe – bon dans mon cas a été de me détruire les mains – et de regarder des séries. Elle a été là pour moi, me soignant, me dorlotant, ainsi je ferai de même avec elle. Même si sa peine d’amour est différente de la mienne, même si je dois remuer ciel et terre pour qu’elle redevienne un trésor qu’on adore découvrir. Ma hanna est mon cadeau que la vie m’a donné, une petite sœur qui n’est pas de mon sang, mais je la considère comme telle. Ma petite sœur si fragile.

Mes lippes s’étirent, heureuse, quand je l’ai entendu rire. Si elle savait que son arme ultime est son sourire? Je ne comprends pas pourquoi son mec la laissé tomber pour une autre sans importance. Je ne comprends pas pourquoi il a fait ça envers elle puisque ma petite sœur a tout pour plaire. Un charme débordant, amusante, mignonne. Elle a aussi un bon boulot, aimante, gentille et j’en passe. Un vrai petit cadeau du ciel. Elle a bien tourné malgré qu’elle soit restée à l’orphelinat contrairement à moi. Je suis fière d’elle pour ne pas avoir viré aussi mal que moi. Faire des graffitis sur les gens et travailler dans la débauche la nuit, c’est moi. Avoir eu une bande de mec à l’adolescence et avoir eu l’audace de sortir avec un que j’ai vu mourir sous mes yeux. Je regrette cette époque alors que mon rayon de soleil est là devant moi. J’aurais pu davantage m’occuper d’elle et de la prendre en charge dès que j’ai eu ma majorité. Au moins lui donner une famille qu’elle n’a jamais connu, la choyée comme je l’ai été avec les potes de mon mec. Je lui glisse une mèche de cheveux derrière son oreille en contemplant son magnifique visage. J’aurais bien aimé être sa famille, être sa vraie sœur. Avoir un lien plus étroit que nous avons. Je regrette que la vie soit ainsi pour nous deux. Je regrette que la vie décide d’être méprisable envers nous, ceux qui n’ont pas de parents. Je regrette aussi que notre vie soit aussi difficile contrairement à d’autre. Je voudrais tellement que ça soit facile pour elle. Si je le pourrais, je donnerai tout à Hanna, mais je ne peux pas.

«Oui, il va bien…» dis-je doucement avant de prendre ma boisson pour la mettre en contact avec mes lèvres. Je la vois sourire comme si elle est encore amoureuse de lui. Cette petite bouille timide remplie de nostalgie et de tristesse, je la connaissais fort bien. J’ai passé par là malheureusement. Est-ce qu’on est obligé? Hélas, oui. Je retourne mon attention vers elle quand elle me pose une question qui m’a grandement surprise. Comment j’ai fait pour tourner la page? C’est une bonne question. Même moi, j’ignore comment j’ai fait. J’ai été en dépression, maniaque pour retourner en dépression pour reprendre tranquillement le dessus avec les efforts surhumains qu’Hanna et One a pu faire à mon égard. L’isolation n’est pas toujours le moyen, mais parfois, ça fait du bien d’être seule. De réfléchir et de mettre les choses aux claires dans ta tête. Doucement, je souris tristement. Kibum, mon chéri… « Avec le temps, on apprend à vivre avec le cœur qui saigne et vivre avec un vide. On tourne la page quand on finit par comprendre qu’il reviendra pas. On est anéantie au début, on est frustrée pour finalement accepter que jamais ces lèvres effleureront plus les nôtres... que ses mains nous toucheront plus. Sauf qu’on garde des souvenirs puisqu’ils nous ont marqué. C’est avec ça qu’on mûri. On accepte sans broncher…Ah désolée… » je me suis légèrement perdue dans mes pensées. Les rechutes me font quelques fois défauts quand on parle de mon passé. Je me perds, je réfléchis, je laisse aller mes pensées autour de Kibum sans me rendre compte. Lorsque je me rends compte, c’est trop tard pour retourner en arrière.

Je repris mon attention vers elle, la voyant visée son cœur. L’organe qui nous cause bien des soucis lorsqu’il se met à palpiter comme un fou pour une personne et que celle-ci décide que tout était terminé. Je soupire un peu avant de reprendre mon sourire. C’est dingue, oui, mais ce qu’elle a dit est tout à fait véridique. Je n’ai pas nécessairement vécu de rupture, mais une mortalité est tout autre chose. C’est semblable sur certain point. «C’est pas stupide, c’est sûr qu’il va garder une certaine place jusqu’à temps que soit tu l’acceptes ou soit que quelqu’un le remplace. Tu verras si c’était pas le bon, le prince charmant arrivera bientôt. J’en suis persuadée. Pour l’instant, recommençons ton épisode que tu as tout manqué par ma faute.» dis-je en lui faisant un clin d’œil, amusée et en même temps intriguée par ce qu’elle regarde. Je suis là pour elle et personne d’autre. Hanna, tu as une épaule sur qui tu peux pleurer. Ne t’inquiète pas, je suis là pour enlever ton mal.


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Dim 3 Mar - 20:09

(outfits) Son ex petit-ami allait bien et, alors même que cela ne devrait pas l’affecter, elle se sentait heureuse. Parce que son bonheur comptait encore pour la douce jeune femme. Cette dernière avait toujours été ainsi : à se préoccuper davantage des autres que d’elle-même. C’est pour cette raison principale qu’elle avait décidé de devenir infirmière. Jour après jour elle pouvait s’occuper d’autres personnes et les aider à aller mieux. Hanna était ainsi, une femme dévouée qui aimait plus donner que recevoir. Mais son cœur brisé ne faisait que lui rappeler que parfois, il ne valait mieux pas trop donner au risque de tout perdre et d’en avoir un trou béant dans la poitrine. Pour autant cela n’allait rien changer. On ne peut pas changer la nature profonde d’une être humain et celle de la jeune femme était de donner, encore et encore. Une fois qu’elle serait remise sur pieds, elle allait recommencer. Elle allait encore donner de son temps et de son amour à d’autres. Parce que c’était ainsi qu’elle était faite. La vie ne s’était pas montrée tendre avec elle et pourtant elle avait réussit à garder son petit cœur intacte, avec l’innocence et la bonté que peu de personnes continuent à posséder une fois arrivé à l’âge adulte. On pourrait affirmer qu’elle s’est enfermée dans le syndrome de Peter Pan que pour vivre mieux les événements difficiles de la vie et avoir une bulle où se réfugier. On pourrait affirmer que c’était une faiblesse. Mais c’était faux. C’est ça qui constituait sa plus grande force.

Une nouvelle question posée à sa grande sœur, espérant qu’elle puisse la guider comme elle l’a toujours fait. Beaucoup disent que les liens du sang sont les plus forts, mais c’est faux. Jisu a toujours été un pilier et un ange veillant sur Hanna depuis son enfance. Même si elles n’ont aucun lien de sang, elles ont un lien bien plus fort et profond qu’avec leur soi-disant famille de sang. Celle même qui les a toute deux abandonnée. Hanna était persuadée que jamais, jamais Jisu ne serait capable de l’abandonner et par cet aspect, elle savait que leur lien était plus fort que n’importe quel autre. Les mains posées sur son cœur, elle écoutait avec une grande attention les conseils de la tatoueuse qui, comme toujours, savaient mettre du baume au cœur à la plus jeune. « J’espère pouvoir mûrir autant que toi et suivre si bien tes conseils. J’espère vraiment… » Car pour le moment elle se sentait comme s’il n’allait jamais disparaître de sa vie. Comme si ses sentiments pour lui n’allaient jamais s’éteindre et qu’ils allaient rester pour toujours figés dans sa cage thoracique. Et les nouvelles paroles de la jeune femme dessinèrent un nouveau sourire sur les lèvres de la plus jeune. Quelqu’un allait le remplacer et elle oublierait cet idiot. Un vrai prince charmant.

Un nouveau rire passa ses lèvres alors qu’elle lui proposa de recommencer l’épisode de son anime qu’elle avait loupé, soi-disant par sa faute. « Mais n’importe quoi ! C’est ma faute. Si je t’avais prévenue plus tôt alors tout aurait été beaucoup mieux. Pour nous deux ! » Mais elles étaient les mêmes sur ce point, au fond : elles ne voulaient pas représenter un poids pour l’autre. Peut-être était-ce quelque chose de particulier aux orphelines. On vous abandonne et alors vous pensez être un poids pour ceux qui vous ont donné la vie. Ces personnes qui sont censées vous aimer plus que tout au monde et ne jamais vous laisser. Jamais. Etrangement, même si Hanna ne voulait être un poids pour personne, elle se sentait reconnaissante d’avoir été abandonnée. Parce qu’ainsi elle avait connu Jisu, celle qui était devenue sa véritable famille finalement. Hanna préférait penser ainsi, ne sachant rien sur ses géniteurs, plutôt que d’imaginer n’importe quoi ou de passer une vie entière à les retrouver. Les choses s’étaient passées ainsi et elle ne pouvait absolument rien y changer. Jamais rien ne pourrait rattraper cet abandon, pas même cette couverture brodée ou cette lettre laissée à son attention.

Canelle s’approcha des deux jeunes femme, comme si elle venait de comprendre que leurs cœurs avaient finit de se souvenir de leurs instants douloureux. « Ok. Que dis-tu de commander de quoi déjeuner et de regarder quelques épisodes ? » Les mains posées sur le crâne de sa chienne, Hanna lui offrait quelques douces caresses avant qu’elle ne grimpe entre les deux femmes, imposant alors sa présence et comme acquiesçant à la proposition de sa maîtresse, alors même que cette dernière parlait à Jisu. « Je te laisse choisir le déjeuner. Au vu de ce qu’il y a sur la table, je ne suis pas vraiment en position de choisir un repas correcte. » Hanna attrapa la télécommande pour remettre la série au début. Etant une toute nouvelle, l’infirmière n’était pas certaine que sa grand sœur de cœur l’ait déjà vu et aussi elle préférait la redémarrer pour qu’elle puisse aisément comprendre. Hanna ne comptait plus les heures que Jisu avait passé devant toute sorte de Magical Girls, de Sailor Moon à Chocola et Vanilla. La série se nommait The Last Song et Hanna n’en était qu’au troisième épisode, de toute manière, comme on pouvait le lire sur l’écran. « Ce sont des chansons avec des pouvoirs magiques. C’est génial tu verras ! » Mais celle qui était encore plus géniale c’était Jisu, qui avait réussit à faire renaître un sourire sur le visage de sa jeune sœur. C’était elle, le véritable miracle.



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Shin Jisu
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Ven 8 Mar - 19:28

(outfits) ~ Le choc. C’est le temps de la révélation. Tu apprends – mettons l’ex à Hanna dans ce cas – qu’il te rejette pour une énième raison qui te semble pourtant ridicule. Ça te fige. Tu refuses de l’admettre. Tu te dis : pourtant on a passé à travers de plein de trucs?! Et bien non. Bien souvent cela frappe sans que tu ne l’aperçoives. D’ailleurs, son ex petit copain se retrouve avec une nana. Qui sait comment ils se sont pu rencontrer? Comment ils se sont côtoyés? Comment que les choses ont évolué? Tu te dis, qu’un couple peut être seulement brisé seulement quand ça ne fonctionne pas pour des raisons diverses. Ça peut être vrai, comme ça peut être faux. Faux dans le sens que parfois, une seule personne qui entre nouvellement dans la vie de quelqu’un peut faire tout chambouler à un battement de cils. Sûrement que la demoiselle s’est immiscée dans sa vie, discutant, mangeant un morceau, le draguant sans trop vraiment flirter. Ça lui a plu. Il en veut toujours plus. Il veut la revoir. Il veut désormais toucher. Une harpie est toujours aussi sauvage. Volant ce qui est déjà appartenu. Voulant avoir ce mec qui lui plait pour elle et non de retrouver un autre. Non. Après, ils se rendent une dernière visite et c’est à cet instant que l’homme n’a plu de raisons. Préfère céder à cette vile séductrice. Puis de toute façon, désormais qu’elle détient le mec d’un autre, elle va être rapidement déçue et trouver une autre cible pour pouvoir continuer son jeu sanguinaire de la séduction.

Après cela vient la dépression. On réalise que finalement c’est vrai cette histoire. On pleure beaucoup. On verse énormément de larmes. On souhaite que tout cela soit un cauchemar et qu’en se réveillant on retrouve notre magnifique vie. Hélas non. Tu te réveilles, c’est toujours le mauvais rêve que tu tentes de sortir rapidement. Non. Ce n’est pas un rêve. Cela prend quelques temps, cela prend grandement de temps pour comprendre. Te trouver laide. Sale. De te questionner sur la vie ou si tu te trouves belle car tu te prétends moche. La malbouffe s’entasse. Les mauvaises manies s’empiètent dans ta vie cherchant une consolation quelconque à cette douleur qui toise ta poitrine. Tu cherches quelque chose qui puisse éteindre cette souffrance. Tu cherches par n’importe quel moyen et parfois tu trouves, mais c’est la pire façon qu’il soit. Maintenant, Hanna essaie de passer cette étape pour aller dans la prochaine. Sauf qu’à chaque fois qu’elle y repense, ma pauvre petite, elle tombe à la case départ. Regrettant de ne pas être la seule personne sur qui il a les yeux rivés. Se sentant coupable d’être comme qu’elle est. Justement, il faut être soi-même pour être aimé correctement. Sinon, cette personne que tu aimes tant n’aime qu’un mensonge et cela va être davantage douloureux à supporter.

Une étape bien sombre et longue à en sortir. Un stade que parfois on ne ressort pas sans revenir avec des blessures de guerre. Un pas interminable, mais au moins tu sors majoritairement fort dans tout cela ou fragile dans le pire des cas.

L’acceptation. On décide de tout lâcher. D’abandonner nos larmes. De finalement d’accepter ce que la vie nous a pu faire. De toute façon, qu’est-ce qu’on peut y faire? Ce n’est pas un mirage, mais bien la réalité qui joue devant tes yeux. Ce n’est pas comme un épisode de sailor moon que tu peux faire rejouer pour justement éviter que cette mauvaise chance ne se passe. C’est le destin. Si la destinée a décidé que tu ne finiras pas ta vie avec ce mec, il va arriver d’innombrable de pépin pour que cette relation ne continue pas. C’est comme ça, on ne peut rien faire que de hocher la tête. À moins que ma petite sœur souhaite absolument le reprendre pour x raisons, je l’aiderai avec plaisir, de contre cœur du moins. Un rire retentit dans la pièce qui m’a échappé un sourire. Enfin, elle rit. Enfin, elle rit de nouveau. Ça m’a fortement plu. Puis l’instant d’après, me demandant si je voudrais commander quelques choses et regarder quelques épisodes. Pourquoi pas? Je regarde un instant mon portable pour regarder mon horaire de tatou aujourd’hui et étrangement ma cédule est seulement milieu de l’après-midi, début de la soirée. Que le hasard peut bien faire les choses. Sauf que non. Pas de restaurant pour ma hanna aujourd’hui. Voyant bien les dégâts qu’elle a pu faire à son appartement, ça c’est non. Et de toute façon, si elle continue sa peau si parfaite va avoir des défauts. Je me lève pour aller voir dans son réfrigérateur, et bien surprenant ou pas, rien d’intéressant. « J’aurais bien voulu te faire un bon repas, Hanna, mais disons que les circonstances ont choisi autrement. » fis-je avant de regarder sur le net pour jeter un œil sur le menu en particulier. Qui veut des sushis? J’ai une rage de sushi. «Que dirais-tu des sushis? Choisis ce que tu veux c’est moi qui paye!» demandais-je en lui offrant de tenir mon portable pour qu’elle puisse le menu juste après qu’elle m’ait expliqué ce qu’elle écoutait précisément.

« Sûrement que ça va me plaire quand je suis avec toi, tout me plaît.» Quelle phrase romantique n’est-ce pas? Pourtant ça ne l’est pas. Je m’amuse beaucoup quand je suis avec ma petite sœur de cœur même si on ne se voit pas aussi souvent qu’on devrait. Notre emploi du temps est compliqué lorsqu’il s’agit des congés. Elle travaille dans le milieu de la santé alors que moi je suis tatoueuse dans la journée et danseuse de nuit. Je suis quelque peu bookée, mais j’y arrive tant bien que mal à me libérer pour ceux qui me sont chers. Justement, je veux garder un lieu profond avec eux et je ne veux certainement pas les quitter pour rien au monde. C’est ça l’amour d’une famille non?


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Mar 9 Avr - 20:32

(outfits) Sa grande sœur accepta sa proposition et cela ne fit que tirer encore plus le sourire de la plus jeune sur ses lèvres. Rien de tel qu’une après-midi devant des dessins animés pour redonner le sourire à Hanna. Sans Jisu, jamais elle ne serait devenu celle qu’elle était à présent. Parce que même si la vie avait tenté de les séparer, elles étaient restées liées l’une à l’autre. Un lien qui était indestructible. Un lien de famille. Parce que la famille n’est pas que celle du sang, elle est celle du cœur. Ce sont ceux qui sont là pour nous, qui nous guident, qui nous aident et qui nous aiment. La plus âgées s’était levée en direction du frigo et une grimace tira les traits d’Hanna. Elle connaissait bien le vide intersidéral qui le constituait, en ayant même un peu honte. Mais entre la visite de Min Jun la veille et la compagnie de Jisu, l’infirmière se sentait déjà plus forte et capable de se remettre sur pieds. Elle allait se remettre en marche, en ressortir plus forte. Pas moins naïve, pas moins innocente ; mais plus forte. « Je suis désolée pour le bon repas… Mais promis, maintenant que je suis à nouveau sur pieds, j’irai faire des courses demain et je rangerai tout ce bazar. » Son appartement était à l’image de son cœur : bordélique et sans dessus dessous. Mais maintenant que les blessures de son organe vital étaient pansées, elle pouvait tout ranger pour que cet appartement soit à nouveau le reflet parfait de cette petite pompe de sang.

La tête de la plus jeune s’articula de haut en bas alors qu’elle récupérait le téléphone de sa grande sœur entre les mains. Les sushis étaient toujours les bienvenues. Et certainement bien plus sains que les choses grasses et sucrées qu’elle mangeait depuis une semaine entière. « Tu n’es pas obligée. Merci ! Je commande tout de suite. Go ! » Hanna avait retrouvé cette joie et cette gaieté qui la caractérisait tant. Elle cliqua sur son menu préféré avant de lui repasser le téléphone pour que Jisu puisse finaliser sa commande. Au moins, près de la table, il restait un peu moins de bazar grâce à l’intervention de la plus âgée. Cannelle aboya en comprenant leur manège avant de s’affaler sur le sol non loin d’elles. Elles formaient véritablement une famille, toutes deux face à la télé avec la gentille chienne tout près. Hanna se souvenait encore du jour où elles étaient allées la chercher au refuge, alors même qu’Hanna n’avait pas totalement terminé d’emménager dans l’appartement et qu’elle ne travaillait que depuis un mois à l’hôpital. Cet appartement, c’est même Jisu qui l’avait aidée et son ex-petit-ami qui avait monté la plupart des meubles. Pour qu’elle puisse trouver son indépendance et sortir de cette chambre d’orphelinat où elle avait passé quasiment toute son existence.

Il est vrai que lorsqu’on grandit sans famille, sans véritable repère, on en trouve ailleurs. Les dames qui s’occupaient de l’orphelinat en était un. Mais Jisu était le plus grand. Hanna n’avait pas le caractère brûlé de Jisu, et cette dernière avait toujours veillé à ce que la plus jeune ne la suive pas dans ses bêtises. Ce qui avait joué dans la préservation de son innocence. Bien sûr, la plus jeune avait déjà connu des peines. Mais elle avait toujours tout gardé pour elle. Jusqu’à aujourd’hui. Jusqu’à cette relation de trop. Jusqu’à ce que son cœur soit une fois de trop piétiné. « Tu vois que tu es adorable ! Je ne mérite pas une grande sœur aussi gentille avec moi. » Le même sourire sur les lèvres, Hanna passa son bras autour de celui de l’ainée pour serrer sa joue tout contre. L’épisode débutait et la brune était déjà prise dans l’épisode, comme le regardant pour la première fois alors même qu’elle l’avait déjà vu. Parce qu’Hanna était ainsi. Elle vivait toutes ses émotions comme pour la première fois et chaque chose semblait nouvelle pour elle. Parce qu’il suffit juste de la regarder sous un angle différent.

Les sushis arrivèrent plus vite qu’elle ne l’aurait cru et Hanna laissa Jisu payer et congédier le livreur. Que cette ville pouvait être fabuleuse ! Que la vie pouvait être fabuleuse. Commander ce genre de repas n’avait rien à voir avec les diners à l’orphelinat. Ils n’étaient pas horribles, mais comparé à ça, on aurait pu le croire. Hanna se souvenait encore de ces soirées à se rejoindre dans les dortoirs, ayant piqué les gâteaux des desserts et les mangeant ensemble, éclairées par une simple lampe de poche. Tout ces moments avec Jisu étaient uniques et incroyables. Ils l’avaient forgée. « C’est trop bon. Merci pour ce bon repas. » Les points de la plus jeune se serrèrent et s’agitèrent juste contre ses joues. A cet instant précis, elle avait l’air d’une fillette de 10 ans. « Ce repas va me redonner la force. Il est magique, parce qu’il est offert par toi. Je vais être forte, c’est promis. » Une promesse qu’elle espérait plus que tout tenir car elle était faite à la tatoueuse. Une des personnes les plus importantes de sa vie. Sa famille.


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